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T1 : Volotea, low cost plus ponctuelle en Europe selon Flightstats

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Volotea a été la compagnie aérienne la plus ponctuelle d’Europe dans la catégorie des compagnies low cost au premier trimestre 2019, avec un taux de ponctualité de 90,4% selon FlightStats.

Durant le premier trimestre 2019 selon le rapport mensuel de l’agence indépendante américaine FlightStats, la spécialiste espagnole du vol pas cher a dominé ses consœurs en termes de ponctualité. Volotea souligne dans un communiqué que depuis le début de l’année, elle a « surperformé en termes de ponctualité » ; 6000 de ses vols ont été contrôlés au cours du trimestre, « ce qui témoigne de son excellente fiabilité en termes de ponctualité ». La low cost a été classée par FlightStats deuxième en janvier, troisième en février et première en mars avec 91,3% de ses vols arrivés à l’heure, soit le taux le plus élevé. Sur l’ensemble du trimestre, Volotea est classée comme la compagnie aérienne la plus ponctuelle d’Europe dans la catégorie low cost avec un taux de ponctualité qui a atteint 90,4%. « Les taux de ponctualité de Volotea démontrent l’efficacité opérationnelle de nos équipes ainsi que notre engagement à offrir la meilleure expérience de vol à nos passagers et ce, toujours à des tarifs très compétitifs », a déclaré Carlos Muñoz, Fondateur et PDG de Volotea.

Volotea est également l’une des compagnies aériennes ayant le taux d’annulation le plus bas au monde : sa régularité a été de 99,83% en 2018. Sur plus de 52.000 vols opérés l’année passée, 88 seulement ont été annulés, « notamment pour des raisons météorologiques ou des problèmes liés à des tiers ». Et au premier trimestre 2019, aucun vol n’a été annulé par Volotea.

La compagnie aérienne « des capitales régionales européennes » a connu une croissance significative de son activité et de son trafic : en 2018, elle a atteint 6,57 millions de passagers  soit une hausse de 36% en un an. Au premier trimestre 2019, la compagnie aérienne a accueilli à bord plus de 700.000 passagers supplémentaires, ce qui en fait à nouveau « l’une des compagnies avec la croissance la plus rapide de l’Union Européenne ». Elle a célébré ses 20 millions de passagers en octobre 2018, et célébrera cette semaine son septième anniversaire en franchissant la barre des 22 millions.

Volotea fait également partie des compagnies aériennes dans le monde qui ont lancé le plus grand nombre de lignes. En 2019, 41 nouvelles lignes seront opérées, pour un total de 320 liaisons entre plus de 80 capitales européennes dans 13 pays (France, Italie, Espagne, Allemagne, Grèce, Croatie, République Tchèque, Portugal, Malte, Autriche, Irlande, Luxembourg et Maroc). Le taux de recommandation clients de Volotea a également atteint « un taux exceptionnel de 93,4% au sein duquel la ponctualité des vols a été évaluée comme le deuxième meilleur critère, le premier étant la convivialité de l’équipage ».

La low cost dispose actuellement d’une flotte de 34 avions, composée de Boeing 717 et d’Airbus A319 stationnés dans 12 bases : Venise, Nantes, Bordeaux, Palerme, Strasbourg, Asturies, Vérone, Toulouse, Gênes, Bilbao, Marseille et Athènes. Ces trois dernières ont été inaugurées en 2018, et une autre sera lancée cette année à Cagliari. Durant l’été 2018, Volotea a dépassé la barre des 1000 employés ; « du personnel dynamique et qualifié qui participe chaque jour au développement de la compagnie qui a permis à Volotea d’atteindre un taux de recommandation client de 90% » ; 200 nouveaux postes seront créés en 2019.


Crash d’Ethiopian Airlines : un rapport préliminaire sans surprise

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Le rapport préliminaire sur l’accident d’Ethiopian Airlines le mois dernier a confirmé jeudi les informations fuitées les jours précédents : les pilotes ont suivi les procédures en désactivant le système MCAS, mais n’ont pas pu récupérer le contrôle du 737 MAX. Boeing a reconnu les similarités avec l’accident de Lion Air, mais insiste sur la « sécurité intrinsèque » de son monocouloir remotorisé.

Ce rapport présenté le 4 avril 2019 par l’AAIB (Air Accident Investigation Board) éthiopien sur l’accident du vol ET302 le 10 mars, qui a fait 157 victimes, est principalement basé sur les informations de l’enregistreur des données de vol (FDR). Il confirme que le 737 MAX 8 immatriculé ET-AVJ possédait un certificat de navigabilité valide au moment de l’accident, les pilotes possédaient les qualifications requises et les autorisations nécessaires pour piloter l’appareil, les procédures de décollage étaient nominales et les pilotes ont respecté les procédures. Le directeur de l’AAIB Amdiye Ayalew a précisé que la rédaction du rapport complet devrait prendre « entre six mois et un an », la recherche d’autres problèmes ayant pu affecter l’avion se poursuivant. « L’équipage a réalisé à plusieurs reprises toutes les procédures fournies par le constructeur, mais ils n’ont pas été en mesure de reprendre le contrôle de l’avion », a déclaré la ministre éthiopienne des Transports Dagmawit Moges ; elle a précisé que l’objectif majeur de l’enquête n’était pas de « blâmer » qui que ce soit et en a défendu l’indépendance, affirmant qu’aucune « interférence » n’était à déplorer. Mais elle a demandé à Boeing que « le système de gestion de vol de l’avion soit revu », sans mentionner le système MCAS anti-décrochage mis en cause dans les deux accidents qui ont fait 346 morts en cinq mois.

Le commandant de bord d’Ethiopian Airlines Yared Getachew avait 103 heures de vol à bord du 737 MAX 8 tout neuf, l’un des quatre mis en service par la compagnie aérienne (sur un total de 8200 heures dont 1400 sur 737), tandis que le copilote en avait 56 ; ils avaient respectivement suivi leurs dernières sessions sur simulateur fin septembre et début décembre 2018. S’ils ont initialement suivi les procédures en désactivant le MCAS, le rapport préliminaire n’explique pas pourquoi l’avion n’a pas répondu aux actions du pilote, y compris les deux dernières commandes « pull up » environ 30 secondes avant que l’appareil ne s’écrase. Ni si l’équipage a effectivement réactivé le MCAS (contrairement aux instructions de Boeing) 3 minutes après l’avoir désactivé, l’appareil répondant alors à une commande automatique « nose down » ; ni pourquoi la poussée des moteurs semblait anormalement élevée.

Le rapport précise en revanche que les sondes d’angle d’attaque (AOA) fonctionnaient correctement au roulage, avant d’envoyer des signaux contraires six secondes après le décollage – ce qui laisse penser à un choc aviaire ou de débris ayant abîmé celle de gauche, reliée au MCAS. Le vibreur de manche gauche est alors entré en action et est resté actif presque jusqu’à la fin du vol. Malgré les indications divergentes des sondes, l’équipage a poursuivi la montée, engageant le pilote automatique à environ 1000 pieds. Le copilote a commencé à rentrer les volets ; un peu plus de 30 secondes après son activation, le pilote automatique s’est désengagé, et le commandant de bord a signalé que l’appareil éprouvait des problèmes de contrôle. Huit minutes après son décollage, l’appareil a heurté le sol à une vitesse de 500 nœuds selon la sonde droite, et 458 nœuds selon la sonde gauche.

Ethiopian Airlines a réagi à ce rapport préliminaire, défendant ses pilotes ; le PDG Teweolde Gebremariam s’est dit « très fier qu’ils ont suivi les procédures d’urgence et leur haut degré de professionnalisme dans des conditions extrêmement difficiles », saluant au passage l’Académie d’Ethiopian Airlines et son centre d’entrainement de pilotes. Son homologue chez Boeing Aviation Commerciale, Kevin McAlliser, a de son côté publié un long communiqué dans lequel il reconnait que les données d’angle d’attaque transmises à l’avion par la sonde d’incidence étaient erronées, « provoquant l’activation du système de contrôle automatisé de l’assiette de l’avion MCAS pendant le vol, comme ce fut le cas pendant le vol JT610 de Lion Air ». « Pour que l’activation involontaire du système MCAS ne se reproduise plus », le dirigeant rappelle que Boeing « a mis au point et prévoit de mettre en œuvre » une mise à jour du logiciel MCAS, ainsi qu’un programme d’instruction complet assorti d’une formation supplémentaire à l’attention des pilotes du 737 MAX : cette mise à jour « apporte de nouvelles couches de protection et empêchera l’activation du MCAS par des données erronées. Les pilotes auront toujours la possibilité de neutraliser le MCAS et de reprendre manuellement les commandes de l’avion ». Quand le MAX reprendra les airs, « il sera l’avion le plus sûr qui ait jamais volé », a ajouté Boeing qui a publié une photo de son PDG Dennis Muilenburg assis dans le cockpit d’un 737 MAX pendant un vol d’essai.

Le déroulement détaillé du vol ET302 est disponible ici (en anglais, avec lien vers le rapport préliminaire).

EasyJet inaugure sa base de Nantes

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La compagnie aérienne low cost easyJet offre désormais 27 routes dont 14 nouvelles au départ de sa nouvelle base à l’aéroport de Nantes, sa septième en France et 29ème en Europe.

L’aéroport de Nantes-Atlantique a célébré le 4 avril 2019 l’inauguration de la base de la spécialiste britannique du vol pas cher, qui accueillie trois Airbus A320 dont un décoré d’un emblème de la ville : la cité des Ducs. Après y avoir annoncé en décembre huit nouveautés (Bastia, Bilbao, Copenhague, Dubrovnik, Grenade, Marrakech, Rome et Ténériffe), puis cinq autres en février et une quatorzième le mois dernier (Héraklion), easyJet propose désormais 27 destinations dans l’aéroport nantais dont onze sans concurrence. Elle se posait déjà à Bâle-Mulhouse, Bristol, Genève, Lille, Lisbonne, Liverpool, Londres (Gatwick et Luton), Lyon, Milan, Nice, Porto et Toulouse. La compagnie vise une position de leader avec 25% de parts de marché en 2019, soit 1,8 million de passagers par an. La compagnie orange annonce également une amélioration des fréquences et des horaires des lignes existantes : les voyageurs d’affaires, qui représentent 20% des passagers easyJet à Nantes et jusqu’à 27% sur les lignes intérieures, pourront effectuer des allers-retours dans la journée vers Lyon, Nice ou Toulouse, là où les autres moyens de transports sont moins adaptés. En 2019, les capacités d’easyJet sur les lignes domestiques vers et depuis Nantes augmenteront de 30%

L’investissement d’easyJet à Nantes contribue directement à l’économie locale. Avec trois A320 basés, plus de 110 emplois sous contrat de droit français ont été créés dont près de 40 postes de pilotes et plus de 70 postes de personnels de cabine. Parmi eux, de nouveaux entrants recrutés à Nantes ainsi que des Nantais d’origine en poste dans d’autres bases easyJet, précise la low cost dans un communiqué. « A l’heure où la mobilité interne est appréciée dans le monde du travail, easyJet permet à ses équipages d’effectuer un choix de cadre de vie ». L’emploi indirect se trouve également positivement impactés par « les centaines d’emplois induits » par le développement d’une compagnie aérienne, celui d’easyJet se traduisant également par « un apport direct de 100.000 nouveaux visiteurs en 2019 ».

Depuis le début de ses opérations à Nantes en 2008 avec une liaison vers Genève, easyJet a transporté plus de 6,5 millions de passagers. La compagnie verra ses capacités à Nantes augmenter de 37% en 2019, pour un total de 2 millions de sièges disponibles. L’aéroport Atlantique « est un choix stratégique pour la 7ème base d’easyJet en France, du fait de son attractivité en tant que destination loisirs et affaires bénéficiant d’une forte demande au départ et à l’arrivée », souligne easyJet, qui poursuit sa stratégie de « renforcement dans le Grand Ouest français et d’investissement sur le long terme dans les régions françaises, contribuant à leur développement économique et l’amélioration de leur connectivité ».

Les invités de la cérémonie ont pu assister à l’atterrissage d’un A320neo en provenance de Londres, l’occasion de découvrir « cet avion de nouvelle génération aux performances sonores et carbone améliorées dont easyJet est l’un des principaux opérateurs en Europe ». Johan Lundgren, CEO d’easyJet, a commenté : « nous sommes fiers de notre développement en France et de l’ouverture de cette base à Nantes. La France est au cœur du réseau easyJet avec 20 millions de passagers, soit un quart de nos clients. Aujourd’hui nous passons un cap avec sept bases sur le sol français. Notre engagement local est fort et nous avons de grandes ambitions pour le marché français ». François Bacchetta, Directeur d’easyJet pour la France, a ajouté : « nous avons bâti une relation de longue date avec les Nantais, et travaillons en étroite collaboration depuis plus de 10 ans avec l’aéroport Nantes-Atlantique pour construire un réseau loisir et affaires pertinent et un programme de vol en lien avec les attentes des clients, tout en veillant à améliorer l’expérience client. 2019 sera une année record pour la compagnie à Nantes, avec 2 millions de sièges disponibles, 14 nouvelles lignes annoncées mais aussi le lancement de l’option coupe-file aux contrôles sécurité et à l’embarquement, une véritable valeur ajoutée pour les passagers affaires ».

Pour Nicolas Notebaert, Directeur général de VINCI Concessions et Président de VINCI Airports, easyJet « choisit l’aéroport Nantes-Atlantique pour lancer sa 1ère base dans le Grand Ouest français, et c’est une excellente nouvelle pour les équipes de l’aéroport comme pour toutes les parties prenantes. Nous avons déjà pu le constater à Lisbonne, à Porto ou ailleurs : obtenir une base d’un leader comme easyJet a un impact positif important sur les territoires. C’est le sens de notre action chez VINCI Airports : faire de la mobilité un vecteur de développement, en renforçant la création d’emplois et l’attractivité touristique par l’ouverture de nouvelles routes ». L’ancrage d’easyJet à Nantes-Atlantique « témoigne aussi de la qualité de nos relations avec les compagnies aériennes. VINCI Airports et easyJet ont noué un partenariat efficace parce que nous partageons la même vision : une mobilité aéroportuaire inclusive, durable et innovante, au service d’un monde ouvert, qui facilite les échanges entre les pays et les communautés. Je souhaite la bienvenue à Nantes-Atlantique à tous les équipages easyJet et suis convaincu qu’ils s’épanouiront dans cette région dynamique, innovante et accueillante ».

El Al relie Tel Aviv à Nice

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La compagnie aérienne El Al a inauguré jeudi une nouvelle liaison entre Tel Aviv et Nice, renforçant l’offre de fréquences sur cette ligne qui a enregistré une croissance de son trafic passagers de 53% en 2018.

Depuis le 4 avril 2019, la compagnie nationale israélienne propose trois vols par semaine entre sa base à Tel Aviv-Ben Gurion et l’aéroport de Nice-Côte d’Azur, opérés en Boeing 737-900ER pouvant accueillir 16 passagers en classe Affaires et 156 en Economie, ou en 737-800 (16+138). Les départs sont programmés mardi, jeudi et dimanche à 6h30 pour arriver à 9h45, les vols retour quittant la France à 11h00 pour se poser à 15h45 (durée de vol moyenne 4 heures). El Al est en concurrence avec Air France et easyJet sur cette ligne qui avait été inaugurée au printemps 2015 par sa filile Sun d’Or.

L’arrivée du premier vol sur le tarmac azuréen a donné lieu à un traditionnel « water salute », cette troisième compagnie régulière sur la destination Tel Aviv soulignant selon un communiqué de l’aéroport niçois « le très fort dynamisme des échanges entre Nice et Israël ». Après une croissance de 31% du nombre de passagers sur cette liaison en 2017, un record à +53% a été enregistré en 2018 à près de 60.000 passagers. Les motifs de voyages sont essentiellement le tourisme (40%) et les visites à des proches (55%), tandis que les déplacements d’affaires représentent 5% du trafic. Avec une estimation de marché potentiel à court terme de 100.000 passagers par an, la liaison « s’annonce très porteuse ».

« L’arrivée d’El Al sur notre plateforme, en présence de son Excellence Aliza Ben Noun, ambassadeur d’Israël en France, est une marque de confiance dont nous la remercions. Elle rejoint notre ambition de connecter toujours plus densément notre région au monde, et plus largement de créer des passerelles entre tous les territoires en proposant aux voyageurs une alternative de qualité aux grands hubs nord-européens », se félicite Dominique Thillaud, président du directoire des Aéroports de la Côte d’Azur.

Rappelons que le réseau d’EL Al en France inclut également Paris-CDG et Marseille, et qu’elle dessert Bruxelles et Genève entre autres. La compagnie israélienne a déjà prévu de lancer cette année à Tel Aviv des routes vers San Francisco le 13 mai, Manchester le 26 mai, Las Vegas le 14 juin et Orlando le 2 juillet.

L’aéroport Nice Côte d’Azur est le deuxième aéroport de France après Paris (CDG+Orly) avec 13,85 millions de passagers en 2018, 121 destinations directes et 60 compagnies régulières desservant 43 pays. En dehors de Paris, il est aussi le seul aéroport français à proposer 5 destinations long-courriers en vols réguliers (Dubaï, Doha, Koweït, New York et Montréal) et à accueillir l’Airbus A380 en vol quotidien.

Aéroport de Martinique : +5,37% en février

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Le trafic de l’aéroport de Fort de France-Martinique Aimé Césaire poursuit sa croissance avec 207.874 passagers, une augmentation de 5,37% par rapport à la même période en 2018. Le trafic national dans l’aéroport martiniquais le mois dernier enregistre une croissance de 2,26% avec 170.101 passagers selon son communiqué :

▪ Le segment France, qui bénéficie toujours des tarifs attractifs des opérateurs réguliers sur la destination, affiche une progression de 4,86%

▪ La présence de la compagnie Norwegian en Février impacte positivement le segment Guyane qui présente une augmentation de la fréquentation de la desserte de 24,06%

▪ Le segment Guadeloupe accuse une baisse de -10,93% imputable aux tarifs compétitifs proposés par les opérateurs maritimes sur la destination qui représentent une concurrence non négligeable pour les compagnies aériennes qui desservent l’île sœur

Avec 31.676 passagers, le trafic international affiche d’excellents résultats avec une hausse de 32,47% par rapport à la même période en 2018 :

▪ Le segment Autres Aéroports, incluant notamment les destinations d’Amérique du Nord, affiche une belle croissance de 57,23% notamment grâce à l’augmentation des fréquences et de l’offre des dessertes vers les Etats-Unis et la Canada principalement

▪ La croisière tête de ligne, dont la saison a débuté en Décembre 2018, renforce considérablement le trafic et impacte notamment le segment Europe (+10,72%)

▪ Malgré la reprise de l’activité touristique dans les îles du Nord, le segment Caraïbe Internationale reste encore quelque peu impacté par les tarifs proposés sur les destinations de la zone et présente une baisse de -12,06%

Enfin, le segment Fret et Poste augmente respectivement de 23% et 3,6% sur le mois de Février.

Avec 419.701 passagers transportés en résultats cumulés depuis le début de l’année, l’aéroport Martinique Aimé Césaire affiche une hausse de 5,45% par rapport aux deux premiers mois de 2018.

©Yann-2986

Airbus : 58 commandes, 74 livraisons et A350 de Japan Airlines

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Airbus a enregistré en mars 58 commandes d’avions de ligne, principalement pour la famille des gros-porteurs A350 XWB, tout en livrant à 40 clients 74 appareils de ses familles A220, A320, A330, A350 et A380. Japan Airlines a dévoilé une livrée spéciale pour son premier A350-900, attendu cet été.

Le mois de mars 2019 a été marqué pour l’avionneur européen par la commande du groupe Lufthansa portant sur 20 A350-900 supplémentaires, pour un total de 45 – le groupe allemand étant le premier opérateur d’Airbus. La même famille de gros porteurs a été choisie par un nouveau client, Starlux Airlines à Taïwan qui a pris douze A350-1000 et cinq A350-900 ; elle prévoit de déployer ces avions sur ses principaux services long-courriers de Taipei vers l’Europe et l’Amérique du Nord, ainsi que vers des destinations sélectionnées dans la région Asie-Pacifique. Un « client privé » a également commandé un A350-900 le mois dernier.

Pour les monocouloirs Airbus, vingt appareils de la famille A320neo ont été acquis en mars par un client anonyme.

Les livraisons de mars 2019 étaient composées de 57 appareils de la famille A320 (13 en configuration CEO et 44 versions NEO), de huit A350-900 / A350-1000, de cinq A220, de trois A330neo et d’un A380. Parmi les livraisons notables du mois figurent le premier A350-900 livré à Evelop Airlines. Avec cet avion, loué à Air Lease Corporation, le transporteur espagnol de la division voyages du groupe Barceló, Ávoris, devient le premier transporteur pour les vacances / loisirs à exploiter un A350 XWB.

La première livraison d’un A380 à All Nippon Airways au Japon fait d’ANA le quinzième exploitant du plus grand avion de transport de passagers au monde. De plus, Airbus a livré le no. Le premier A330neo en Afrique, un A330-900, a rejoint la flotte d’Air Sénégal.

Dans le secteur VIP, Airbus a fourni le premier des trois avions ACJ320neo à Comlux, qui ouvrira désormais son équipement de cabine au centre d’achèvement Comlux aux États-Unis. Comlux est le plus gros client de la famille ACJ320neo d’Airbus Corporate Jets.

Compte tenu des dernières commandes et annulations, le carnet de commandes d’Airbus restant à livrer au 31 mars (backlog) s’élève à 7357 appareils.

Japan Airlines a de son côté dévoilé une livrée spéciale (qui sera déclinée en rouge, argent et vert) pour son tout premier Airbus A350-900, qui sera initialement déployé entre les aéroports de Tokyo-Haneda et Fukuoka dès le 1er septembre, sur trois rotations quotidiennes. Les dix-huit A350-800 commandés en 2013 seront configurés pour accueillir 12 passagers en Première, 94 en classe Affaires et 263 en Economie (369 sièges au total, tous nouveaux mais non dévoilés) et équipés de wifi. Le premier A350-900 de la compagnie de l’alliance Oneworld est entré en FAL à Toulouse à la mi-février. Elle attend également treize A350-1000, sans date de livraison annoncée.

Investissements d’ADP : le SCARA dénonce une manipulation grossière

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Le gestionnaire des aéroports parisiens ADP propose d’investir 6 milliards d’euros entre 2021 et 2025, dans un contrat de régulation économique doublé par rapport à celui actuellement en cours et financé par des augmentations annuelles des redevances. Le SCARA dénonce une « manipulation grossière » marquant un « mépris » des compagnies aériennes.

Alors que l’avenir de la privatisation d’ADP sera de nouveau en jeu la semaine prochaine avec l’adoption définitive de la loi Pacte, le groupe aéroportuaire a publié cette semaine le Dossier Public de Consultation (DPC), détaillant ses propositions dans le cadre de la préparation de son Contrat de Régulation Economique 2021-2025 (CRE4), qui sera signé l’année prochaine avec l’Etat. Le gestionnaire de Paris-CDG, Orly et Le Bourget compte investir dans leur développement 6 milliards d’euros en cinq ans, qui seront financés par « une évolution annuelle des tarifs des redevances égale à l’inflation augmentée de 1,35 point en moyenne pour la période 2021-2025 (contre inflation +1% sur la période 2016-2020) ». Le communiqué explique qu’en dépit du doublement du montant des investissements, « la trajectoire d’évolution tarifaire demeure modérée, à un niveau inférieur à la moyenne constatée pour les gestionnaires d’aérodromes comparables ».

Ce plan d’investissements quinquennal permettra d’accueillir, « dans les meilleures conditions de qualité », un trafic passagers en croissance estimée en hausse de 2,6% en moyenne sur la période 2021-2025 (dont 3,5% sur le trafic international) selon le communiqué du groupe ADP, « par l’optimisation des infrastructures existantes et la poursuite d’une politique de maintenance exigeante ». Il permettra également de reconsidérer le fonctionnement global des plates-formes franciliennes « en consacrant des moyens sans précédent » à la refonte des accès routiers, en démarrant la construction du Terminal 4 de Charles de Gaulle et en aménageant la partie Ouest d’Orly. Il consacrera « des moyens conséquents » à la digitalisation et la fluidification du parcours passagers et à l’amélioration continue de l’accueil et de la qualité de service dans les terminaux. Cette proposition prévoit des investissements « cohérents avec l’ambition de neutralité carbone des aéroports franciliens du Groupe ADP en 2030 ».

Augustin de Romanet, Président-directeur général du Groupe ADP, a déclaré : « En conciliant court, moyen et long terme, et en réussissant à programmer des investissements significatifs tout en limitant la hausse des tarifs et en permettant une juste rémunération des capitaux, la proposition de l’entreprise pour le prochain contrat de régulation économique 2021-2025 permet de tenir compte des besoins de toutes les parties prenantes. Elle témoigne de la solidité du modèle industriel et financier du Groupe ADP, pour faire face aux nombreux défis qui se présentent à lui, et de sa capacité à investir et se développer à Paris ».

Les usagers et les autres parties intéressées peuvent adresser leurs observations sur ce dossier au ministre des transports et à la direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes dans un délai d’un mois à compter du 2 avril, délai susceptible d’être étendu de quinze jours par décision du ministre des transports. Le gouvernement saisira ensuite une commission pour avis consultatif sur le projet ; puis la négociation avec ADP débutera.

Pas si vite dénonce le SCARA (Syndicat des Compagnies AéRiennes Autonomes), qui regroupe 40% des compagnies aériennes françaises basées en métropole et dans les territoires ultra-marins, ainsi que des sociétés d’assistance aéroportuaire et de formation : le groupe ADP tente selon lui un « passage en force » avec un « débat de façade », et semble « refuser par tous les moyens » la concertation. Le Dossier Public de Consultation « prétend que les échanges avec les compagnies aériennes ont été «importants», «ont permis de recenser les besoins des usagers», «ont porté sur l’ensemble des problématiques» ; alors qu’il n’en est rien, de l’avis général des compagnies aériennes qui l’ont fait savoir par de nombreux courriers adressés tant à ADP qu’aux Ministères concernés, en demandant notamment l’organisation de groupes de travail par thèmes (investissements, financement, redevances, etc.) permettant des échanges approfondis ». Le DPC se fondrait donc pour le SCARA sur des « hypothèses non validées », qui conduisent de surcroît à de nouvelles augmentations tarifaires « tout aussi injustifiées, si ce n’est pour venir encore grossir les profits d’ADP déjà particulièrement élevés et en croissance permanent de près de 30% chaque année » (son chiffre d’affaires est en croissance de 4,6%, à 3,137 milliards d’euros, avec un produit des redevances aéronautiques à Paris Aéroport affichant +5,6%, à 1115 millions d’euros, et un EBITDA de 1961 millions d’euros, en hausse 25,1%).

Parmi les griefs du SCARA, on retiendra l’estimation d’ADP de la hausse du trafic aérien à 2,6% par an sur la période 2021-2025, « sans apporter aucune précision quant au mode de calcul de cette prévision ni sans en avoir discuté avec les compagnies aériennes ; sans indiquer notamment l’impact potentiel à la baisse de la fréquentation des grands hubs internationaux par les avions de nouvelle génération monocouloir à long rayon d’action ». Sur les redevances à venir, ADP « qualifie de «modération tarifaire réelle» sa proposition d’une évolution de +1,35% en plus de l’inflation, alors qu’après des années de hausses extravagantes au regard de l’inflation et des tarifs passagers, les compagnies aériennes s’attendaient légitimement à des baisses de tarifs importantes ». Entre 2006, date de l’ouverture du capital d’ADP aux capitaux privés, et 2018, les tarifs des redevances aéroportuaires d’ADP ont selon le SCARA augmenté de 42% alors que pendant le même temps l’inflation était de 15% et le prix des billets d’avion baissait de 20%.

En publiant son Document Public de Consultation, ADP veut donc « couper court à une concertation sereine avec ses clients, compagnies aériennes », conclut le SCARA. Avec un but précis : mettre en place le plus rapidement possible un Contrat de Régulation Economique avec l’Etat « qui garantira à ses investisseurs dans le cadre de sa toute prochaine privatisation une rentabilité invulnérable ». Dans un courrier adressé à ADP le 27 mars que La Tribune s’est procuré, les différentes associations de compagnies aériennes (IATA, FNAM, BAR, ou SCARA donc entre autres) mais aussi easyJet et FedEx ont dénoncé « l’approche retenue », notamment la précipitation de la publication du DPC puisque le prochain contrat de régulation économique n’entrera en vigueur qu’en avril 2021.

Lufthansa reliera Munich à Sao Paulo en A350

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La compagnie aérienne relancera cet hiver une liaison entre Munich et Sao Paulo, trois ans après l’avoir supprimé. Elle déploiera alors son Airbus A350-900 pour la première fois vers l’Amérique du sud.

À partir du 2 décembre 2019, la compagnie nationale allemande proposera trois vols par semaine entre sa base de Munich-Franz Josef Strauss et l’aéroport de Sao Paulo-Guarulhos, opérés en A350-900 tri-classe. Les départs sont programmés lundi, jeudi et samedi à 22h30 pour arriver le lendemain à 7h55, les vols retour quittant le Brésil mardi, vendredi et dimanche à 19h00 pour se poser le lendemain à 9h35.

Lufthansa sera a priori sans concurrence sur cette route, LATAM Airlines n’ayant toujours pas officialisé le lancement prévu au printemps de ce trajet. La compagnie de Star Alliance et celle de Oneworld sont en revanche face à face entre Francfort et Sao Paulo, tandis que l’aéroport de Bavière accueille Avianca en provenance de Bogota depuis novembre dernier.

Cette offre de vols « est une nouvelle preuve du développement positif de Munich en tant que hub premium », a déclaré dans un communiqué Wilken Bormann, CEO Lufthansa à Munich. Il souligne que ce sera la première fois que la compagnie aérienne envoie vers l’Amérique du Sud un A350, « l’avion long-courrier le plus moderne et le plus écologique dans le monde ».

Lufthansa va d’autre part ajouter une deuxième rotation quotidienne (en A340) entre Francfort et Chicago-O’Hare durant la prochaine saison hivernale, portant la ligne à quatre vols par jour avec ceux de sa partenaire d’alliance United Airlines (qui propose sur place des correspondances vers 155 destinations en Amérique du nord.


Rappel : le grand déménagement à Istanbul débute cette nuit

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La compagnie aérienne Turkish Airlines débutera le déménagement de l’ensemble de ses vols d’Atatürk vers le nouvel aéroport d’Istanbul dans la nuit de vendredi à samedi, après y avoir fait ses premiers pas en octobre dernier.

« The Great Move » (« Le Grand Transfert ») des opérations de la compagnie nationale turque durera 45 heures au total, et se terminera dans la nuit du 6 avril 2019 à 23h59, dans une opération « unique en son genre dans l’histoire de l’aviation mondiale ». Afin de mener à bien ce déménagement conformément aux plans antérieurs, les deux aéroports Atatürk et Istanbul n’accueilleront aucun vol le samedi 6 avril entre 2h00 et 14h00. Le dernier vol transportant des passagers au départ de l’aéroport Atatürk sera celui de Turkish Airlines vers Singapour, et après le transfert le premier au départ de la nouvelle plateforme (le 6 avril à 14h00 donc) sera à destination d’Ankara. Le nombre de vols au départ du nouvel aéroport d’Istanbul « augmentera progressivement, conformément au plan établi » selon le communiqué de Turkish Airlines.

Au cours du transfert, environ 47.300 tonnes d’équipement seront acheminées de l’aéroport Atatürk à celui d’Istanbul. Des appareils de remorquage d’avions pesant 44 tonnes aux équipements les plus fragiles, il s’agira de déplacer plus de 10.000 pièces, nécessitant l’équivalent de 5000 camions de transport. La distance parcourue par ces camions pendant 45 heures est estimée à 400.000 kilomètres, soit 10 fois le tour de la Terre. Plus de 1800 personnes participeront à cette grande opération.

Après le grand transfert, les codes IATA changeront et dès le 6 avril à 03h00, le code IST de l’aéroport Atatürk sera attribué à celui d’Istanbul (Atatürk accueillera des vols frets et de passagers VIP avec le code ISL).

Concernant cette immense opération, le Président du Conseil d’Administration et du Comité Exécutif de Turkish Airlines Ilker Ayci a déclaré : « Le plus grand transfert de l’histoire de l’aviation va avoir lieu. L’ensemble des équipements que nous allons transférer couvrirait 33 terrains de football. Après ce grand transfert, observé par le monde entier, de nouveaux jours s’ouvriront à nous. Le soleil brillera sur l’aviation Turque grâce à des vols opérés depuis l’aéroport d’Istanbul. J’ai l’espoir que ce transfert sera une grande chance à la fois pour notre pays et pour Turkish Airlines ».

Fondée en 1933 avec une flotte de cinq avions seulement, Turkish Airlines opère 332 appareils (passagers et fret) desservant 306 destinations dans le monde (49 domestiques et 257 dans 123 autres pays). Elle est membre de Star Alliance.

Jet Airways au bord du gouffre : AirAsia et Vistara en profitent

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Alors que le consortium aux commandes de Jet Airways, dont 75% de la flotte est clouée au sol, doit lancer demain des appels d’offres, les compagnies aériennes rivales comme Air Asia et Vistara multiplient les annonces de vols supplémentaires en particulier à Mumbai – sur des créneaux désormais inutilisés.

Le consortium de prêteurs indiens dirigé par la State Bank of India (SBI), devenu l’actionnaire majoritaire de Jet Airways le mois dernier, compte lancer le 6 avril 2019 un appel aux investisseurs, qui auraient trois jours pour déclarer formellement leur intérêt dans le sauvetage de la compagnie privée. En cas d’échec, « d’autres solutions » seront étudiées. Mais il n’a toujours pas précisé si l’emprunt provisoire d’environ 218 millions de dollars, qui permettrait à Jet Airways de continuer à opérer durant les prochaines semaines, a été finalisé. Elle n’opère désormais plus que 26 avions (dont 15 dédiés aux liaisons intérieures), alors que sa flotte en a compté jusqu’à 119. Ce qui a ôté au marché près d’un million de sièges entre janvier et mars, assure The Economic Times ; certains prédisent déjà un arrêt des opérations à la fin avril. Mercredi dernier, quelque 260 pilotes de Jet Airways se seraient présentés selon la presse locale à une journée de recrutement de la low cost SpiceJet. Aucun salaire de mars n’aurait été versé, la compagnie évoquant les « complexités » liées à sa situation ; elle avait retardé les salaires des pilotes, ingénieurs et cadres supérieurs depuis août dernier, et ils n’auraient pas été payés depuis janvier.

Du coup la DGAC indienne a commencé à redistribuer les créneaux de vol de Jet Airways, initialement pour une période allant du 16 avril au 15 juillet, afin de stimuler les capacités durant cette période de vacances. La low cost AirAsia India et la compagnie régulière Vistara (toutes deux filiales du Tata Group) ont immédiatement sauté sur l’occasion, en particulier à l’aéroport de Mumbai où le nombre de départs de Jet Airways est tombé de 140 à 24 par jour. La première annonce de nouveaux vols vers Bangalore et Kochi, tandis que la seconde va inaugurer pour cette période cinq rotations quotidiennes vers Bangalore et une vers Hyderabad, et en ajouter une supplémentaire vers Calcutta et une entre Hyderabad et Pune. D’autres compagnies privées seraient intéressées mais n’ont pas finalisé leur demande de slots, rapportait hier la presse indienne. Cette adjudication temporaire de créneaux avait déjà été pratiquée lors des crises de SpiceJet et Kingfisher. 

 

Robuchon en Première et valises au menu d’Air France

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Les passagers de Première classe d’Air France peuvent savourer pendant trois mois les plats créés par feu le chef Joël Robuchon, tandis que la compagnie aérienne et Delsey ont présenté leur nouvelle collection de bagages.

Après dix années de collaboration avec Joël Robuchon, qui était le chef le plus étoilé au monde, Air France « tenait à mettre à l’honneur ses plus exceptionnelles créations culinaires » dans son nouveau menu offert en cabine La Première. Du mois d’avril au mois de juin 2019, la compagnie salue la mémoire du chef visionnaire et virtuose, en proposant ses plats en Première à bord des vols long-courriers au départ de Paris. Les créations de Joël Robuchon proposées :

En avril 2019
Mise en bouche de tartare saumon caviar
Joue de bœuf braisée au miso et sa sauce, pâtes pipe rigate et jeunes légumes
Suprême de pintade laqué et sa printanière de petits pois au miel d’oranger
En mai 2019
Mise en bouche de tartare saumon caviar
Cuisson douce de filet de Saint-Pierre à la sauce vierge et compotée d’aubergine et tomates
Volaille fermière et jus au vin jaune, shiitakes sautés et asperges vertes
En juin 2019
Mise en bouche de tartare saumon caviar
Parmentier de canard effiloché à la truffe et gratin de purée de pomme de terre
Joue de bœuf braisée au miso et sa sauce, pâtes pipe rigate et jeunes légumes

Ambassadrice de la gastronomie française en plein ciel, Air France collabore, pour ses menus au départ de Paris, avec le Studio Culinaire Servair, qui était présidé par Joël Robuchon. Le Studio Culinaire  Servair est aujourd’hui présidé par le chef étoilé Guy Martin et accueille des chefs ambassadeurs culinaires tels qu’Anne Sophie Pic, Michel Roth ou Régis Marcon. Les chefs étoilés qui signent les plats servis en cabine La Première participent à la conception des menus, au choix des produits et à la création des recettes. Créé en novembre 2009, le Studio Culinaire Servair, leader de la restauration aérienne en France et en Afrique, est « un véritable think tank rassemblant chefs étoilés et experts pour élever les standards de qualité de la restauration embarquée et transposer les codes de la haute cuisine aux repas des voyageurs du monde entier ».

Le bagage, en particulier signé Delsey, est un incontournable des collections Air France Shopping. Pour la saison printemps-été 2019, les deux maisons françaises spécialistes du voyage s’associent à nouveau pour lancer deux nouvelles lignes exclusives : AIR FRANCE KIDS et NEW ENVOL.

Avec 1.400.000 enfants transportés par an, Air France « ne cesse d’innover avec une ambition, enchanter les vacances ». Elle s’associe à Delsey pour proposer une valise réalisée sur mesure pour les petits-voyageurs. Ce bagage, spécialement conçu pour les enfants de 4 à 8 ans, offre des dimensions et des aménagements adaptés aux jeunes globetrotters et des détails ludiques inspirés du voyage: nombreuses pochettes pour ranger crayons et cahiers, tirettes en forme d’avion ou de nuage. « Clin d’œil au chic à la française, cette valise s’habille d’une marinière. Son design frais et élégant séduira les parents comme les enfants ».

Caractéristiques:
– Valise cabine
– Garantie 3 ans
– Léger: 1,8 kg
– Polyester
– Dimensions: 45 x 35 x 19 cm
– prix : 99 euros TTC

Plus robuste et dotée de nouvelles fonctionnalités, la collection NEW ENVOL associe design élancé, résistance et légèreté. Disponible en bleue et en noire, sa texture grainée reprend l’accent, symbole  de la marque Air France. NEW ENVOL dispose également du meilleur de la technologie Delsey : doubles-roues pour un roulage plus confortable, double Zip securitech, serrure TSA. La collection est disponible en trois dimensions dont une spécialement prévue pour voyager en cabine.

Caractéristiques:
– Garantie 5 ans
– Zip anti-intrusion
– Serrure TSA
– Roues à double densité
– 100% polycarbonate
– Dimensions: 55 x 35 x 25 cm // 68 x 44 x 27,5 cm // 78 x 50 x 30 cm
– prix : 189 euros TTC // 219 euros TTC // 269 euros TTC
– Couleur: bleu // noir

Air France Shopping est le site de vente en ligne des produits Air France. Essentiels de voyage, bagagerie, objets insolites, maquettes, retrouvez tout l’univers des accessoires de voyage. « Chics et pratiques, ces objets incarnent l’image d’Air France à travers différentes collections reprenant les symboles de la compagnie. Air France Shopping s’associe régulièrement avec des marques françaises partageant ses valeurs telles que l’élégance, la praticité, la qualité, toujours en lien avec le voyage ».

Air-Journal : record d’audience en mars 2019

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Air-journal.fr a enregistré en mars 2019 un record d’audience avec exactement 1.922.829 visiteurs dont 1.015.986 visiteurs uniques.

Au total, plus de 6 millions de pages ont été vues le mois dernier. Si nous en sommes là aujourd’hui, un site de référence consacré entièrement à l’aviation civile, c’est grâce à vous, lectrices et lecteurs.

Vous êtes toujours plus nombreux à nous lire chaque jour. Nous vous remercions chaleureusement de votre fidélité et de votre intérêt à l’égard de notre site.

L’équipe d’Air-journal.fr

Virgin Australia proteste contre l’application de la charia à Brunei

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Virgin Australia a annulé un accord de transport des équipages passé avec Royal Brunei Airlines pour dénoncer l’instauration au Sultanat de Brunei de la charia la plus stricte -avec peine de mort par lapidation pour punir l’adultère et l’homosexualité, et amputation pour les voleurs.

Selon cet accord interne rompu par Virgin Australia, le personnel de la compagnie aérienne australienne pouvait acheter des billets d’avion à prix réduit pour voyager à bord de Royal Brunei pour le loisir (et réciproquement pour le personnel de la compagnie de Brunei). 

Virgin Australia a envoyé un e-mail à ses employés pour leur expliquer que l’application de la peine de mort par la lapidation des personnes adultères et/ou homosexuelles, en vigueur à Brunei depuis le 3 avril 2019, s’applique aux musulmans, aux non musulmans et aux étrangers « même en transit à bord d’avions enregistrés à Brunei« . « Compte tenu des lourdes punitions (y compris la peine capitale) prévues pour des activités qui sont légales et acceptables en Australie, l’accord est annulé avec effet immédiat« , a indiqué la compagnie australienne.

En revanche, un accord commercial de partage de codes qui permet à Royal Brunei Airlines de vendre au public des billets sur des vols de Virgin Australia en Australie reste en place, a précisé un porte-parole de la compagnie australienne à l’AFP. 

L’acteur George Clooney et le chanteur Elton John, pour leur part, ont lancé un appel au boycott des neuf hôtels de luxe dans le monde (dont les palaces parisiens le Meurice et le Plaza Athénée) détenus par l’homme fort de Brunei, le sultan Hassanal Bolkiah. « Chaque fois que nous prenons une chambre dans l’un de ces neuf hôtels, nous mettons de l’argent directement dans la poche d’hommes qui choisissent de lapider ou de fouetter à mort leurs concitoyens homosexuels ou accusés d’adultère », a déclaré l’acteur.

Emirates désignée « meilleure classe Première » par les internautes de TripAdvisor

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Emirates a remporté le prix de la meilleure classe Première sur long-courrier lors des Travelers’ Choice 2019 organisés par le site de notation TripAdvisor.

Les prix Travelers’ Choice sont attribués selon les notes, la qualité et la quantité de commentaires recueillis au sujet des compagnies aériennes pendant les 12 derniers mois à travers le monde sur TripAdvisor. Selon les internautes de TripAdvisor, l’expérience en classe Première sur Emirates a permis d’établir de nouveaux standards en matière de voyage premium, introduisant plusieurs produits innovants tels que les suites privées, la douche-spa ou le bar-lounge à bord de ses nombreux superjumbos Airbus A380.

La dernière version de la classe Première sur ses Boeing 777 se compose de suites privées entièrement closes dont le design s’inspire de l’habitacle de la voiture de luxe Mercedes-Benz Classe S, dotées de portes coulissantes, de sièges en cuir souple, de panneaux de commande high-tech et d’un éclairage d’ambiance.

La compagnie de Dubaï a également remporté plusieurs autres prix décernés par TripAdvisor, dont le prix de la meilleure classe Affaires régionale au Moyen-Orient, celui de la meilleure classe Première Classe au Moyen-Orient (sur vol moyen-courrier donc) et celui de la meilleure compagnie aérienne au Moyen-Orient. Toujours au Travelers’ Choice 2019, Qatar Airways est élue « meilleure classe Affaires, Air New Zealand « meilleure classe Pemium Economique » et Singapore Airlines « meilleure classe Economie ».

 

Transavia inaugure une ligne entre Paris-Orly et Nador au Maroc

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Transavia, la compagnie low-cost du groupe Air France-KLM, a inauguré hier une nouvelle desserte, Nador au Maroc, au départ de l’aéroport Paris-Orly.

La low cost française propose 2 vols par semaine, le lundi et le vendredi, à partir de 59 € TTC l’aller simple. Forte de plusieurs stations balnéaires en développement, Nador est une ville d’histoire située en plein cœur de la région du Rif oriental, qui connaît actuellement un essor économique et touristique : le projet de développement de la lagune de Marchicava va transformer le paysage de la région et la nouvelle station balnéaire est prévue pour être la plus grande du Maroc. 

Transavia France est sans concurrence sur cette ligne, la low cost Ryanair dessert aussi Nador mais au départ de Paris-Beauvais. Avec Nador, Transavia France exploite maintenant 10 dessertes au Maroc au départ de Paris-Orly. Pour la saison estivale 2019, elle annonce une offre de 4,6 millions de sièges au départ de Paris-Orly, en croissance de 9 % par rapport à l’été 2018 et propose au total 6 nouvelles destinations : Nador, Brindisi, Kos, Zakynthos, Port-Mahon et Rhodes.


Corsair se renforce sur l’Amérique du Nord

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Après avoir annoncé le lancement de la desserte de Miami à compter de juin 2019, Corsair monte en puissance sur Montréal en élargissant la période de son service à l’année.

La ligne entre Paris-Orly et Miami sera opérée régulièrement à l’année à partir du 10 juin 2019 à raison de 4 vols hebdomadaires, le lundi, mercredi, vendredi et samedi. Par ailleurs, la ligne entre Paris-Orly et Montréal deviendra également régulière et disponible tout au long de l’année à partir du 20 avril 2019. Présente au Canada depuis 14 ans, et forte du succès de la desserte de Montréal avec un taux de remplissage de plus de 95% sur la période estivale 2018, Corsair opérera 5 vols hebdomadaires, puis passera en vol quotidien en période de pointe été.

En proposant ses dessertes de Miami et Montréal à l’année, « Corsair souhaite prendre une part significative sur le marché, apporter plus de flexibilité en matière de vols avec une offre diversifiée qui répond aux attentes de tous les clients« , indique la compagnie française. L’aller-retour Paris-Miami est disponible sur le site de Corsair à partir de 278 euros TTC, et l’aller-retour Paris-Montréal à partir de 364 euros TTC.

Boeing : réduction de 20% la production des 737 MAX et communiqué du PDG

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Alors que tous les 737 MAX sont cloués au sol depuis le crash d’Ethiopian Airlines le 10 mars dernier, l’avionneur américain Boeing a annoncé hier qu’il réduisait de près de 20% la production de son monocouloir.

La production du 737 MAX va passer de 52 appareils par mois à 42, a annoncé Boeing dans un communiqué. Le constructeur est confronté désormais à un problème de logistique face à l’accumulation d’avions qui sortent des chaînes d’assemblage qu’il ne peut plus livrer. La livraison des exemplaires du monocouloir aux compagnies aériennes reprendra seulement après les modifications par Boeing du système antidécrochage MCAS (Maneuvering Characteristics Augmentation System), spécialement conçu pour le 737 MAX et mis en cause dans l’accident d’Ethiopian Airlines, et leur validation par la FAA, l’autorité de l’aviation civile américaine. Un processus qui va durer « des semaines« , selon la FAA.

Un rapport préliminaire sur le crash d’Ethiopian Airlines a été rendu public hier, dédouanant les pilotes -ils avaient bien suivi les procédures- et mettant donc en cause la conception du 737 MAX.

Aujourd’hui, Dennis Muilenburg, le PDG de Boeing, a tenté de rassurer dans un communiqué que les modifications du MCAS permettront au monocouloir de voler de nouveau en toute sécurité. 

« Nous travaillons actuellement en étroite collaboration avec nos clients et les autorités de réglementation internationales pour remettre le 737 MAX en service. Dans tout ce que nous accomplissons, nous demeurons fidèles à nos valeurs fondamentales, au premier rang desquelles figurent la sécurité, l’intégrité et la qualité.

Nous savons à présent que les récents accidents des vols 610 de Lion Air et 302 d’Ethiopian Airlines sont l’aboutissement d’une chaîne d’événements, dont un maillon commun est l’activation erronée du système MCAS de l’avion. Nous avons la responsabilité d’éliminer ce risque et savons comment y parvenir. À cet effet, nous progressons chaque jour dans la mise à jour du logiciel du 737 MAX qui permettra d’éviter de nouveaux accidents de ce type. Nos équipes œuvrent sans relâche, perfectionnent et testent le logiciel, procèdent à des examens objectifs, et s’engagent auprès des organismes de réglementation et des clients du monde entier dans l’optique de sa certification finale. J’ai récemment eu l’occasion d’expérimenter personnellement la mise à jour de ce logiciel en toute sécurité à bord d’un vol de démonstration du 737 MAX 7. Nous mettons également la dernière touche à de nouveaux cours de formation pour les pilotes et finalisons des supports pédagogiques supplémentaires à l’attention des clients du 737 MAX du monde entier. Ces avancées sont le résultat d’une approche complète et disciplinée, et nous prendrons le temps qu’il faut pour la mener à bien.

 

Tout en franchissant ces étapes, nous allons ajuster de façon temporaire le système de production du 737 afin de gérer la pause des livraisons de cet avion, ce qui nous permettra de consacrer prioritairement des ressources supplémentaires à la certification du logiciel et à la remise en service du MAX. Nous avons décidé de passer, à titre temporaire, d’une cadence de production mensuelle de 52 à 42 avions à partir de la mi-avril.

 

Avec une cadence de production de 42 unités par mois, le programme 737 et les équipes de production concernées maintiendront leur niveau d’emploi actuel, tandis que nous continuons d’investir dans la qualité et le bon fonctionnement de notre système de production et de notre chaîne de fournisseurs.« 

Volotea relie Marseille à Cagliari et Luxembourg

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Un an après le lancement de sa nouvelle base à l’aéroport Marseille-Provence, la compagnie espagnole Volotea a inauguré cette semaine deux nouvelles liaisons à destination de Cagliari et du Luxembourg.

La ligne Marseille-Cagliari (Sardaigne) est ouverte depuis le 4 avril, avec 1 à 2 vols par semaine (mardi et jeudi) selon les périodes de pointe, avec au total 10.600 sièges disponibles cet été. La ligne Marseille-Luxembourg a été lancée le 5 avril, avec 2 vols par semaine (lundi et vendredi), avec au total 15.000 sièges.

Il y a tout juste un an, Volotea ouvrait sa nouvelle base à Marseille-Provence en y installant deux appareils Boeing 717 (anciennement McDonnell Douglas MD-95) et en créant 60 emplois locaux. En 2018, Marseille-Provence a été l’aéroport où « la compagnie aérienne des capitales régionales européennes » a enregistré sa plus forte croissance, avec une augmentation de 77% du nombre de passagers par rapport à 2017. Volotea est à présent la seconde compagnie aérienne de l’aéroport marseillais en nombre de destinations desservies avec un total de 23 destinations dont 15 exclusives et 6 nouvelles inaugurées cette année -Lanzarote (30 mars), Fuerteventura (31 mars), Cagliari (04 avril), Luxembourg (05 avril), Bari (03 juin) et Rijeka (05 juin). Avec ces 6 nouvelles dessertes, elle augmente ainsi son offre de 34% en 2019.

« Depuis notre arrivée sur le tarmac marseillais en 2015, nous avons toujours été convaincus du fort potentiel de cet aéroport et de la région. Les excellents résultats obtenus sur l’année 2018 prouvent que nous avons fait le bon choix. L’année dernière, nous avons en effet transporté plus de 268 000 passagers et enregistré un taux de remplissage de 94%. Le lancement de ces deux nouvelles lignes un an après l’inauguration de notre base Marseillaise, va nous permettre de continuer sur notre lancée en proposant toujours plus de destinations via des vols directs à prix attractifs », explique Carlos Muñoz, fondateur et PDG de Volotea.

Fait divers : braquage sur le tarmac d’un aéroport mexicain

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Des hommes armés ont attaqué un fourgon blindé sur le tarmac de l’aéroport international de Guanajuato (centre du Mexique), alors que les fonds étaient sur le point d’être chargés dans un avion.

Les faits sont survenus mercredi soir vers 21 heures (5 heures jeudi, à Paris). Les braqueurs armés sont arrivés à bord d’une camionnette et ont défoncé les barrières de sécurité de l’aéroport. Sous la menace des armes, ils ont pris les sacs que les convoyeurs du fourgon blindé s’apprêtaient à charger à bord d’un avion, puis se sont enfuis en défonçant les barrières à un autre endroit, a expliqué le gestionnaire de l’aéroport, Grupo Aeroportuario del Pacífico (GAP).

L’attaque a duré à peine trois minutes. Les braqueurs auraient emporté un butin de 20 millions de pesos mexicains (environ 900.000 euros), selon la presse mexicaine.

@common Wikipedia

Norwegian augmente ses fréquences au départ de Paris-CDG vers les Etats-unis

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Pour la saison printemps-été 2019, Norwegian augmente ses fréquences de vols directs au départ de Paris-Charles de Gaulle vers Los Angeles, Fort Lauderdale-Miami, Orlando et Denver.

Los Angeles, Denver et Miami
Face au vif succès rencontré sur les ligne vers Los Angeles, Denver et la Floride, la low-cost long-courrier a décidé d’augmenter leurs fréquences. La compagnie qui proposait déjà un vol quotidien tous les après-midis vers Los Angeles, ajoute un 8ème vol le vendredi matin vers la Cité des Anges. Deux vols supplémentaires entre Paris et Fort Lauderdale-Miami sont également inscrits au programme de cette nouvelle saison printemps-été 2019. Ainsi, Fort Lauderdale-Miami est desservie 3 fois par semaine depuis Paris. Norwegian, seule compagnie à opérer des vols directs entre Paris et Orlando et Paris propose 2 services  par semaine jusqu’à fin octobre 2019. Enfin, la seule route directe existante entre Paris et Denver, exploitée par Norgegian, reprend pour une 2ème saison avec une fréquence de 3 vols par semaine.

Aller simple à partir de 159,90 €
Norwegian maintient des tarifs low cost vers les Etats-Unis. Au départ de Paris, le voyageur peut partir à la découverte des grandes métropoles américaines à partir de 159,90€ aller-simple, en vol direct. Le calendrier des bas tarifs mis à disposition des internautes est le moyen le plus efficace pour découvrir les meilleurs tarifs proposés par Norwegian. 

Boeing 787 Dreamliner
Les routes transatlantiques sont opérées en Boeing 787 Dreamliner de dernière génération, dont la moyenne d’âge est de moins de deux ans. Les appareils sont configurés en bi-classe, Economie et Premium. Tous les sièges sont équipés d’écrans individuels sur lesquels les passagers peuvent découvrir gratuitement une sélection de films, séries ou jeux, en plus des informations concernant le vol et la destination.

Depuis le début de l’année, Norwegian propose aux voyageurs l’accès gratuit au Wi-Fi sur les vols intercontinentaux. Il y a quelques mois, Norwegian a réceptionné son premier appareil connecté : un Dreamliner à l’effigie de l’auteur américain Mark Twain. D’ici 2020, plus de 50% des Boeing 787-9 Dreamliner de Norwegian devraient être équipés de la connectivité.

Avec son programme renforcé pendant la saison printemps-été 2019, Norwegian opère désormais 31 vols directs par semaine entre Paris et 7 destinations aux Etats-Unis. Par ailleurs, elle poursuit le développement de ses vols low-cost long-courriers en 2019. Depuis le début de l’année, huit nouvelles routes transatlantiques directes ont été lancées au départ de Londres, Dublin, Barcelone, Madrid, Rome et Athènes vers les Etats-Unis et le Brésil.

Une brochure des tarifs et fréquences des vols directs vers les Etats-Unis au départ de Paris-CDG est disponible en téléchargement sur le site de la compagnie.

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