Safran équipera l’intérieur des trois nouveaux Airbus A330-900 de la compagnie aérienne Corsair International, qui seront pris en leasing chez Avolon.
Corsair, Avolon et Safran ont signé lors du salon AIX Hambourg un accord pour l’aménagement intérieur des trois nouveaux A330neo proposés par le loueur Avolon. Safran équipera ces avions d’un ensemble complet de sièges Z400 en classe Economie et de siège Z535 en Premium, combinés au système de divertissements à bord RAVE. Cet ensemble permet aux passagers de disposer d’écrans individuels et des prises à chaque siège. Parmi les autres aménagements installés par Safran, le communiqué de Corsair cite les espaces de repos du pont inférieur destinés au personnel naviguant ainsi que des équipements permettant un service de restauration à bord de grande qualité grâce notamment aux fours dernier cri. La répartition des sièges n’est pas précisée ; les A330-300 de Corsair sont configurés avec 12 places en classe Affaires, 12 en Premium et 328 en Economie (dont 78 en Eco+). Corsair International doit réceptionner le premier des trois A330neo fin 2020.
« Nous avons hâte d’offrir ce nouveau service à nos passagers, dans une cabine moderne, ergonomique et confortable conçue par Safran », indique Pascal de Izaguirre, PDG de Corsair. « C’est un plaisir de collaborer avec Safran pour aménager les intérieurs des Airbus A330neo de Corsair qui serviront de base à l’extension de sa flotte », ajoute Enda Swan, vice-président exécutif d’Avolon, tandis que Vincent Mascré, Président de Safran Seats, précise : « Safran Seats est honoré d’équiper les nouveaux avions de Corsair avec le siège Z400 ; un siège léger qui offre un confort optimal aux passagers de la classe économie. En complément, la classe premium économie est équipée du siège Z535 créant ainsi un environnement homogène et cohérent ». « Nous sommes très heureux d’être partenaires d’Avolon et de Corsair pour les aménagements intérieurs de leurs nouveaux Airbus A330neo. Le personnel naviguant disposera d’équipements de cuisine ergonomiques pour un service de restauration haut de gamme, et profitera du confort des espaces de repos du pont inférieur », conclut Norman Jordan, Président de Safran Cabin.
Après l’annonce par le groupe TUI de la revente de la compagnie françaiseà l’allemand Intro Aviation GmbH, on en sait un peu plus sur l’avenir du transporteur basé à l’aéroport de Paris-Orly, en particulier sur le projet de croissance « durable » et ambitieux pour sa flotte : celle-ci sera porté à 13 avions d’ici 2023, soit 6 avions supplémentaires. Chacun des trois Boeing 747-400 sera remplacé par deux Airbus. Evoqués depuis octobre dernier, les trois A330-900 ont été officiellement commandés le 15 mars 2019 et arriveront dans la flotte d’ici 2021 ; trois autres Airbus non précisés viendront compléter la flotte en remplacement des 747. Enfin, l’arrivée de 3 nouveaux appareils est prévue entre 2021 et 2023. Le passage à une flotte modernisée et tout-Airbus « permettra d’améliorer significativement la qualité du produit avec des cabines entièrement renouvelées », et se traduira par « une économie d’exploitation très nettement améliorée ».
Compagnie aérienne française régulière et spécialiste du long courrier international, Corsair emploie 1200 collaborateurs. Elle transporte 1 200 000 passagers par an. Corsair International opère des vols réguliers vers les Caraïbes (Guadeloupe et Martinique), l’océan Indien (La Réunion, l’île Maurice), l’Afrique de l’Ouest (Côte d’Ivoire et Mali), l’Amérique du Nord (Montréal, Miami) et Cuba (La Havane).
Les menaces sur les commandes de Boeing 737 MAX se précisent, tout comme l’impact sur les compagnies aériennes dont American Airlines et Ryanair et sur les fournisseurs de l’arrêt des livraisons du monocouloir remotorisé depuis le crash d’Ethiopian Airlines il y a presque un mois.
American Airlines a supprimé de son programme environ 90 vols quotidiens jusqu’au 5 juin 2019 au plus tôt, « attendant toujours des informations de la Federal Aviation Administration (FAA), du Département des transports (DOT), du National Transportation Safety Board (NTSB), d’autres autorités de réglementation et de Boeing » qui permettraient aux 24 737 MAX 8 de sa flotte de reprendre leurs vols. En annulant ces vols de manière proactive, American Airlines dit être en mesure de fournir « un meilleur service » à ses clients avec des options de disponibilité et de modification de la réservation.
La low cost Ryanair devait recevoir le 6 avril à Londres-Stansted son premier monocouloir remotorisé, un 737 MAX 8 200 « Gamechanger » (135 exemplaires commandés, 197 sièges contre 189 dans les 737-800 actuels). Sans faire référence au monocouloir remotorisé, elle va réduire à peau de chagrin au moins deux routes au départ de ce même aéroport londonien. Vers Edimbourg, la low cost ne proposera plus à l’automne que quatre vols par semaine au lieu de jusqu’à 28 ; et vers Belfast International, elle passera de 21 à 2 rotations hebdomadaires. Le choix de ses routes a sans doute quelque chose à voir avec la concurrence directe d’easyJet et donc une moindre rentabilité ; mais Ryanair devait disposer de cinq MAX 200 à la fin de l’année, un appareil qui a volé pour la première fois en janvier et dont elle reste le seul client.
Ukraine International Airlines (UIA) a modifié le calendrier de ses vols pendant la saison estivale, explicitement en raison de la livraison tardive de trois 737 MAX 8 « qui devait entrer en service à partir de la mi-avril ». Les modifications toucheront des destinations telles qu’Athènes, Istanbul et Erevan, où les fréquences seront réduites, ou la route entre Kiev et Vinnytsia qui est suspendue. Certains vols seront également supprimés vers Zaporozhye, Kherson, Ivano-Frankivsk, Bakou, Minsk, Riga, Genève, Amman et Ankara.
Côté commandes, rien n’a été officiellement annulé à ce jour mais la société de leasing chinoise CALC (China Aircraft Leasing Company) a du démentir ce mardi la rumeur selon laquelle elle avait « suspendu » sa commande de 737 MAX, portée à 75 exemplaires fermes en décembre dernier – dont les premiers livrables en 2023. Ethiopian Airlines évoque selon Bloomberg la possibilité de remettre en question les 25 MAX 8 attendus, l’un des cinq déjà mis en service ayant été détruit dans le crash du vol ET302 le 10 mars dernier. « Écoutez, nous avons eu un accident très tragique il y a quelques semaines et les clients ont toujours cet accident en tête. Il sera donc difficile pour nous de convaincre nos clients » de revoler sur le 737 MAX, a déclaré le CEO Tewolde GebreMariam.
Image may be NSFW. Clik here to view.Alors qu’ils avaient été relativement épargnés après l’immobilisation des 737 MAX, Boeing ayant maintenu en l’état la production des monocouloirs, les fournisseurs ont vu le cours de leur action plonger hier dans le sillage de l’avionneur, qui a confirmé la réduction de la production de 52 à 42 monocouloirs par mois. L’action de Spirit AeroSystems a reculé de 7% (même si la société continuera à envoyer 52 parties de fuselages chaque mois, les nouveaux recrutements sont suspendus et les heures supplémentaires réduites) et celle du Triumph Group de 6%, tandis qu’en Europe les Safran, Melrose et autres Meggit étaient également dans le rouge. Des analystes estiment maintenant que le retour dans les airs des 737 MAX pourrait prendre six à neuf mois, contre trois à six mois précédemment. La production globale des 737 en 2019, jusque là prévue aux alentours de 630 exemplaires, pourrait être inférieure à 500. Fin février 2019, le backlog de la famille MAX était de 4636 avions, sur un total de 4723 monocouloirs en attente de livraison.
Boeing a cependant reçu au moins une « bonne » nouvelle : les USA menaçent d’imposer des hausses de taxes douanièressur Airbus entre autres dès cet été, si l’Union européenne ne met pas un terme à certaines subventions. Robert Lighthizer, le représentant américain au Commerce, estime dans un communiqué que ces subventions « pénalisent » les États-Unis à hauteur de 11 milliards de dollars d’échanges commerciaux chaque année ; la liste de produits visés inclut des hélicoptères et avions civils, des pièces détachées – mais aussi des produits alimentaires, des vêtements ou des motos… Le tout dans le cadre de la bagarre des deux géants de l’aviation devant l’OMC – dont le dernier jugement avait justement condamné Boeing.
La compagnie aérienne RwandAir a ouvert les réservations pour sa nouvelle liaison entre Kigali et Guangzhou, via Mumbai. Uganda Airlines a de son côté confirmé la commande de deux Airbus A330-800, dont elle devient le deuxième client.
A partir du 18 juin 2019, la compagnie nationale du Rwanda proposera quatre vols par semaine entre sa base à Kigali et l’aéroport de Guangzhou-Baiyun, opérés en Airbus A330-200 pouvant accueillir 20 passagers en classe Affaires, 21 en Premium et 203 en Economie. Les départs sont programmés selon Airlineroute lundi, mardi, jeudi et samedi à 0h50 pour arriver à 11h30 à Mumbai, en repartir à 12h50 et se poser à 21h40 ; les vols retour quitteront la Chine à 23h30 pour arriver le lendemain à 3h20 en Inde, puis à 7h40 à Kigali.
RwandAir sera sans concurrence sur cette ligne, qui permet un renforcement de l’offre vers Mumbai avec le remplacement de l’habituel Boeing 737-800 par un A330-200. Le feu vert donné le mois dernier par le régulateur chinois, la CAAC, est accompagné d’un droit de cinquième liberté entre Mumbai et Guangzhou (un axe également sans concurrence). La ligne devrait à terme être opérée par les A330-900 pris en leasing chez Air Lease Corp. (ALC) ; la rumeur parle d’une première livraison d’A330neo imminente (le MSN1844) et d’une seconde vers le milieu de l’année (le MSN1861). « Il y a actuellement beaucoup de transactions commerciales entre la Chine et le continent, et nous pensons que la route de Guangzhou aidera à faciliter la connectivité entre l’Afrique et la Chine », déclarait le mois dernier le ministre rwandais des transports, Jean de Dieu Uwihanganye
En attendant, RwandAir lancera dès le 17 avril trois rotations hebdomadaires entre Kigali et Kinshasa-N’Djili, comme escale sur la route de Libreville-Léon Mba. Un 737-800 (16+138) décollera alors mercredi, vendredi et dimanche à 9h20 pour arriver à 11h10 en RDC, en repartir à 12h00 et se poser à 13h45 au Gabon ; les vols retour quitteront Libreville à 15h00 puis Kinshasa à 17h30 pour atterrir à 21h20. Cette route sans concurrence sera renforcée à compter du mois de mai par trois rotations supplémentaires de nuit en Bombardier CRJ900 (6+68), souligne RwandAir dans un communiqué. « Nous sommes très fiers d’ajouter Kinshasa à notre réseau et d’offrir des services de transport de passagers et de fret. Cette nouvelle route soutiendra notre croissance et augmentera notre présence en Afrique », a déclaré Yvonne Manzi Makolo, CEO de RwandAir. « Nous pensons également que l’ajout de Kinshasa stimulera les affaires et renforcera les liens commerciaux entre les deux pays », a-t-elle ajouté. Kinshasa est sa 23eme destination en Afrique, son réseau intercontinental comprenant outre Mumbai et Guangzhou les aéroports de Bruxelles et Londres.
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Image may be NSFW. Clik here to view.En Ouganda voisin, la compagnie nationale Uganda Airlines a confirmé lundi sa commande portant sur deux A330-800, la plus petite version de l’A330neo, après la lettre d’intention annoncée en juillet dernier au Salon de Farnborough. Basée à l’aéroport d’Entebbe, la compagnie (Uganda National Airlines Company) a prévu de configurer la cabine Airspace pour accueillir 20 passagers en classe Affaires, 28 en Premium et 213 en Economie. Elle prévoit d’utiliser ces A330neo « pour créer son réseau moyen et long-courrier car cet avion offre une technologie avancée et de meilleures performances opérationnelles », souligne Airbus dans son communiqué. « Cet accord démontre notre ambition de croissance économique soutenue par une industrie aéronautique robuste », déclarait l’année dernière le CEO Ephraim Bagenda L’A330-800 « combine des coûts d’exploitation bas, une capacité de vol à longue distance et des niveaux élevés de confort. Nous sommes impatients de lancer nos activités et d’offrir à nos clients le meilleur service de leur catégorie », ajoutait-il. Uganda Airlines attend également quatre CRJ900 (12+64) pour ses vols intérieurs et régionaux.
Basée sur l’A330-200, pour lequel Airbus a enregistré plus de 650 ventes d’appareils à des centaines d’opérateurs, la nouvelle version -800 offre un rayon d’action accru, pouvant aller jusqu’à 8150 nm (semblable à celui de l’A350), ce qui représente plus de 17 heures de vol, et couvre « 98% de toutes les lignes pour gros porteurs actuellement exploitées ». Une telle performance, rendue possible grâce à la voilure optimisée en 3D, aux moteurs Trent 7000 économes en carburant et à une nouvelle masse maximale au décollage (MTOW) optionnelle de 251 tonnes, permet d’accroître le rayon d’action d’une distance supplémentaire allant jusqu’à 1300 nm par rapport aux anciens modèles A330-200 ; de quoi assurer des vols sans escale entre l’Asie du Sud-est et l’Europe et des vols transpacifiques entre l’Asie du Sud-est et la côte Ouest des Etats-Unis. A la fin mars 2019, l’A330-800 – qui a effectué son vol inaugural en novembre dernier – n’avait enregistré qu’une autre commande (huit exemplaires pour Kuwait Airways) depuis l’abandon de ce modèle par Hawaiian Airlines. Son grand-frère l’A330-900 affichait fin mars 230 commandes dont celle d’Iran Air pas encore annulée, et six livraisons.
La compagnie aérienne Virgin Atlantic a dévoilé les nouvelles cabines qui équiperont ses Airbus A350-1000, dont l’entrée en service est prévue à l’automne désormais entre Londres et New York-JFK.
La compagnie privée britannique a présenté le 8 avril 2019 les cabines qui équiperont ses A350-1000, dont le premier des douze exemplaires commandés est en cours d’assemblage – avec une livraison espérée « vers la fin de l’été ». Ils seront configurés pour accueillir 44 passagers en classe Affaires, 56 en Premium et 235 en Economie, soit 335 places. Virgin Atlantic a en particulier dévoilé sa nouvelle cabine Affaires « Upper Class Suite », organisée en 1+2+1 avec un espace entre rangées de 44 pouces et un salon-bar « The Loft » dont les sofas pourront accueillir huit clients. Le siège de 50,8 cm de large se transforme en lit de 2,08 mètres, écran de 18,5 pouces, avec deux prises USB et une électrique, une tablette à cocktail, et une porte/partition permettant plus d’intimité.
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Les 56 sièges de classe Premium (en 2+4+2, rangées espacées de 38 pouces) pourront s’incliner de 7° ; ils disposeront d’écrans de 13 pouces, d’une tablette à cocktails et d’un appui-tête ajustable.
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Enfin les 253 places de classe Economie auront droit à un écran de 11,5 pouces, avec un espace entre rangée de 31 pouces (tarifs Alssic et Light) ou 34 pouces (tarif Economy Delight).
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Le système de divertissement des A350-1000 de Virgin Atlantic sera « pilotable » depuis le smartphone du passager dans toutes les classes.
Aucune date précise de mise en service des A350-1000 n’a été annoncée hier par Virgin Atlantic, plusieurs médias évoquant « la fin aout » sur la route entre sa base à Londres-Heathrow et l’aéroport de New York-JFK (Newark avait auparavant été évoqué), d’autres destinations devant être annoncées en juillet. Quatre appareils sont attendus d’ici la fin de l’année, qui seraient tous déployés sur cet axe (sur 4 des 6 vols quotidiens selon Business Traveller). Les huit autres A350 devraient avoir été livrés d’ici la fin 2021. Rappelons qu’ils afficheront tous sur leur fuselage les nouvelles Flying Icons, remplaçant des Flying Ladies pas assez représentatives de la Grande Bretagne moderne.
La compagnie aérienne Etihad Airways va déployer à partir de cet été à Abou Dhabi des Boeing 787-9 Dreamliner vers Johannesburg en Afrique du Sud, vers Lagos au Nigeria et vers Milan en Italie. Son partage de codes avec Aer Lingus en Europe est désormais étendu à 11 routes supplémentaires à Dublin, dont Bordeaux.
Après Rome et Francfort, la compagnie nationale des Emirats Arabes Unis à dévoilé trois nouvelles destinations pour ses Dreamliner, en l’occurrence des 787-9 pouvant accueillir 28 passagers en classe Affaires et 271 en Economie. Ils décolleront à partir du 1er aout 2019 vers l’aéroport de Johannesburg-OR Tambo, où le vol quotidien d’Etihad Airways est en concurrence indirecte avec Emirates Airlines et Qatar Airways
Dès le lendemain 2 aout, le 787-9 de la compagnie émiratie s’envolera vers l’aéroport de Lagos-Murtala Muhammed, où elle fait face indirectement à la même concurrence sur ses quatre rotations hebdomadaires.
Puis à compter du 1er septembre, Etihad Airways desservira tous les jours en 787-9 l’aéroport de Milan-Malpensa, où sont également présentes Emirates Airlines, Qatar Airways et Kuwait Airways et Oman Air. Rappelons que vers Rome elle déploiera un 787-10 dès le mois de juin.
Dans les trois cas, Etihad Airways déploie des Dreamliner en remplacement de ses Airbus A330 ; il lui restait fin mars treize A330-200 et trois A330-300.
On retiendra d’autre part que depuis le début du programme d’été, Etihad Airways partage ses codes avec Aer Lingus sur 11 lignes supplémentaires au départ de Dublin : ses passagers peuvent désormais voler sous code EY entre Dublin et les aéroports de Bordeaux, Bilbao, Bologne, Londres (City et Gatwick), Milan-Malpensa, Munich, Palma de Majorque, Saint-Jacques de Compostelle et Zurich, plus Minneapolis-Saint Paul aux Etats-Unis.
La compagnie aérienne United Airlines a inauguré une nouvelle liaison saisonnière entre San Francisco et Amsterdam, sa cinquième vers les Pays-Bas. Sa nouvelle classe Premium, baptisée United Premium Plus, est désormais déployées sur certaines routes long-courrier, les classes avant bénéficiant en outre d’un nouveau kit de bien-être signé Sunday Riley.
Depuis le 30 mars 2019, la compagnie américaine propose un vol quotidien entre sa base de San Francisco et l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol, opéré en Boeing 787-9 Dreamliner pouvant accueillir 48 passagers en classe Affaires et 204 en Economie dont 88 en Economy Plus. Les vols décollent à 14h55 (arrivée le lendemain à 10h20), et repartent des Pays-Bas à 14h50 (arrivée à 16h50). United Airlines dessert déjà Amsterdam depuis Chicago, Houston, Newark et Washington ; elle est en concurrence sur sa nouvelle ligne avec KLM Royal Dutch Airlines (onze vols par semaine, et avec son alliée Delta Air Lines dix autres routes entre Amsterdam et les USA).
La compagnie de Star Alliance a lancé la plus grande expansion de réseau jamais réalisée dans son hub de San Francisco, avec entre autres l’ouverture de routes vers Toronto et Everett cet été et vers Melbourne et Delhi l’hiver prochain. D’autre part, sa nouvelle classe Premium est désormais déployée sur une quinzaine de routes au départ de San Francisco justement, de Newark-Liberty et de Washington-Dulles (ce sera 21 routes fin mai), 42 avions ayant été reconfigurés à ce jour selon Fightglobal : des 767-300ER, des 777-200ER et tous les 777-300ER – plus les 787-10 Dreamliner dans lesquels elle est installée de série (la majorité des 186 avions long-courriers seront équipés d’ici fin 2020). Les passagers y bénéficient d’un meilleur niveau de service avant même d’embarquer, avec une franchise supérieure de bagages ainsi que l’enregistrement et l’embarquement prioritaire Premier Access. United Airlines offre également des réductions pour l’accès aux Clubs United aux passagers voyageant en classe Premium. Une fois à bord, les passagers profitent d’un siège plus large offrant plus d’aisance ainsi qu’un degré d’inclinaison supérieur par rapport au siège standard en Economy Plus ou en Economy, ainsi que d’un copieux repas d’accueil, des collations en milieu de vol et d’un service de restauration avant l’arrivée à destination. Outre la bière, le vin et les boissons non alcoolisées, les alcools sont également gratuits sur les vols internationaux. Les passagers de classe Premium reçoivent également un kit bien-être, une couverture et un oreiller douillet ainsi qu’un casque antibruit, « ce qui leur permettra de profiter pleinement des centaines d’heures de divertissement proposées sur leurs grands écrans individuels ». Chaque siège est également équipé d’une prise d’alimentation et d’un port USB, d’un compartiment à bagages dédié et d’un espace de rangement supplémentaire permettant de garder les appareils à portée de main pendant le vol.
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On retiendra enfin que United Airlines s’associe à la luxueuse marque de cosmétiques Sunday Riley pour le lancement de ses nouveaux kits bien-être. En se basant sur des recherches menées auprès de ses employés et de ses clients, United a choisi Sunday Riley comme nouveau partenaire pour ses produits de soin, une marque récompensée à plusieurs reprises, pionnière en technologies écologiques et en soins ultraperformants. « Sa philosophie : les soins cutanés constituent un complément indispensable au bien-être général des voyageurs d’aujourd’hui ». Combiné à l’expérience Polaris en classe Affaires, le produit leader de l’industrie, ce partenariat apportera un confort supplémentaire aux passagers pendant leurs voyages. La marque Sunday Riley est basée à Houston, qui est l’un des principaux hubs de United. Sa ligne de soins pour la peau « est ultra performante, avec des formules basées sur le pouvoir de la science allié à l’équilibre du végétal, qui permettent d’obtenir rapidement et de manière visible les résultats souhaités ».
« Sunday et son équipe ont vraiment pris le temps de comprendre comment les voyages et l’environnement des avions affectent nos passagers, et ont mis au point une formule qui constitue un complément parfait à l’ensemble du voyage avec United. En offrant des produits de soins cutanés de grande qualité dans nos avions et dans nos salons, nous continuons à améliorer l’expérience des passagers qui voyagent avec United », a déclaré dans un communiqué Mark Krolick, vice-président marketing chez United. « Nous sommes ravis de travailler avec une femme d’affaires et une entrepreneure avant-gardiste qui a une présence à l’international depuis sa base de Houston, où se trouve aussi notre hub ».
United proposera trois kits bien-être spécifiques pour chaque cabine avec des produits Sunday Riley :
Classe affaires United Polaris : le kit bien-être sera composé de quatre produits Sunday Riley. Un baume pour les lèvres à l’huile de grenade et au beurre de karité pour stimuler l’hydratation, une crème pour le visage contenant un mélange de plantes pour hydrater et apaiser la peau en vol, une crème pour les mains contenant un mélange nourrissant de karité, de cacao et de rose musquée, une lingette pour le visage à base d »essence de menthe poivrée, qui équilibre le sébum pour tonifier la peau.
United Premium Plus : le kit bien-être comprendra le baume pour les lèvres et la crème pour les mains.
United Premium Transcon : le kit bien-être proposera le baume à lèvres.
Une brume pour le visage et une crème pour les mains formulées par Sunday Riley, ainsi que toute une série de nouveaux produits, dont le détachant 2-1 de Garment Groom et un désodorisant pour tissus créé par Murchison-Hume seront également présents dans les toilettes des cabines Premium de plusieurs dizaines d’avions de la flotte de United.
Les salons United Polaris, les salons Arrivals et les United Club équipés de douches sur l’ensemble du réseau proposeront également des produits formulés par Sunday Riley, ce qui contribuera à améliorer l’expérience des passagers, du salon au vol. Les produits présents dans les salons et les clubs incluront un nettoyant tonifiant pour les mains à base d’extraits de concombre et de thé vert qui laisse la peau propre et fraîche, un shampooing hydratant qui contient de l’extrait de concombre et de l’huile de graines de cynorhodon pour aider à renforcer et hydrater les cheveux, un revitalisant reconstituant qui contient de l’extrait de thé vert et de l’huile de graines de grenade pour aider à adoucir et revitaliser les cheveux, un gel douche rafraîchissant aux extraits de concombre et de thé vert qui hydrate et apaise la peau ainsi qu’un hydratant nourrissant pour les mains et le corps à base de beurre de karité et de cacao pour hydrater et nourrir profondément la peau.
Ensemble, United Airlines et United Express opèrent environ 4800 vols quotidiens vers 353 aéroports sur les cinq continents. En 2018, elles ont assuré plus de 1,7 million de vols et transporté plus de 158 millions de passagers. United est fière d’avoir le réseau le plus étendu du monde, incluant les hubs continentaux à Chicago, Denver, Houston, Los Angeles, New York/Newark, San Francisco et Washington DC. United Airlines exploite 770 appareils et les compagnies aériennes de United Express opèrent 559 avions régionaux.
Le vol HA90 de la compagnie aérienne Hawaiian Airlines est entré dans l’histoire de l’aviation, reliant Honolulu à Boston pour ce qui est le plus long vol domestique aux Etats-Unis.
Depuis le 5 avril 2019, la compagnie américaine propose cinq vols par semaine entre sa base à Honolulu-Daniel K. Inouye et l’aéroport de Boston-Logan, opérés en Airbus A330-200 pouvant accueillir 16 passagers en casse Affaires, 68 en Premium et 192 en Economie. Les départs sont programmés tous les jours sauf mardi et mercredi à 13h55 pour arriver le lendemain à 5h50, les vols retour quittant le Massachusetts tous les jours sauf mercredi et jeudi à 9h20 pour atterrir à 14h25 (durée de vol moyenne 11 heures).
Hawaiian Airlines est sans concurrence sur cette route, ses passagers bénéficiant à Boston du partage de codes avec JetBlue Airways désormais étendu à 22 lignes intérieures sous code HA : Atlanta, Baltimore, Buffalo, Charleston SC, Charlotte, Chicago-O’Hare, Cleveland, Detroit, Ft. Lauderdale, Ft. Myers, Jacksonville FL, Nashville, Newark, New York-LaGuardia, Orlando, Philadelphia, Pittsburgh, Raleigh/Durham, Savannah, Tampa, Washington-Reagan et West Palm Beach (JetBlue peut proposer sous code B6 le Boston-Honolulu).
« En tant que compagnie aérienne hawaïenne, nous sommes très fiers de partager l’amour de nos îles et d’accueillir nos invités de la Côte Est. Nous sommes convaincus qu’ils constateront que leurs vacances commencent et se terminent avec nous », a déclaré dans un communiqué Peter Ingram, President & CEO Hawaiian Airlines ; « nous voulons aussi aider les Hawaïens à se déplacer où ils le souhaitent, et nous savons qu’ils se rendent fréquemment en Nouvelle-Angleterre ». Jusqu’à ce jour, Boston était le plus grand marché américain qui ne disposait pas de vol direct vers Hawaï.
En plus des vacances, la route ouvre des opportunités économiques et culturelles ; par exemple, l’industrie des fruits de mer, très importante dans les deux états, en bénéficiera. A bord du vol HA89 quittant Boston pour Hawaii, presque une tonne et demi de homards vivants étaient à bord. Le poisson et les produits hawaïens seront également transportés régulièrement en Nouvelle-Angleterre.
Avec 8200 km, l’itinéraire Honolulu-Boston, est le plus long itinéraire domestique régulier jamais programmé aux Etats-Unis ; en 1819, lorsque le navire Thaddeus avait quitté Boston, il avait fallu 164 jours aux missionnaires qui étaient à bord pour atteindre Hawaii.
Hawaiian Airlines dessert 13 destinations sur le continent américain et propose de nombreux vols internationaux vers l’Australie, la Corée du Sud, le Japon, la Nouvelle Zélande, les Iles Samoa et Tahiti. La compagnie propose aussi un réseau inter-îles offrant plus de 170 vols par jour, pour au total opérer 260 vols quotidiens.
Les compagnies aériennes Air France et Vietnam Airlines ont célébré à Paris la première année pleine de leur coentreprise, durant laquelle elles ont transporté 355.000 passagers entre Paris, Hanoi et Ho Chi Minh Ville. Le label « Employeur de choix » a été décerné au transporteur français par la plateforme Engagement Jeunes pour l’année 2019.
Une cérémonie était organisée à Paris pour fêter les résultats de la coentreprise mise en œuvre en novembre 2017 entre les compagnies nationales française et vietnamienne. Quelque 355.000 passagers ont bénéficié des vols cogérés, le coefficient de remplissage atteignant 85% sur les deux axes entre Paris-Charles de Gaulle et les aéroports de Hanoi-Noi Bai et Hô Chi Minh Ville-Tan Son Nhat, selon Cao Anh Son, directeur du Bureau de Vietnam Airlines en France et en Europe cité par VNA. Air France dessert actuellement Hô Chi Minh Ville trois fois par semaine en Boeing 777-200ER, tandis que Vietnam Airlines propose trois rotations hebdomadaires sur cet axe et un vol quotidien entre Hanoi et Paris, tous opérés en Airbus A350-900. Sébastien Guillot, représentant d’Air France, a déclaré de son côté que la coopération « contribuait à la consolidation de la position de chaque compagnie sur le marché vietnamien ».
Les vols opérés dans le cadre de cette joint-venture continuent à bénéficier des services proposés dans le cadre de l’alliance Skyteam, tels que Skypriority, l’accès aux salons ou les programmes de fidélité Flying Blue et LotuSmiles prévoyant le cumul et l’utilisation de Miles sur les réseaux des deux compagnies ; les deux compagnies promettaient « des connectivités améliorées et renforcées grâce à des horaires de vol adaptés au départ des hubs, offrant ainsi un plus large choix d’options de voyage ». Air France et Vietnam Airlines collaborent également depuis plus de vingt ans sur le plan opérationnel, avec des partenariats dans le domaine de la maintenance des avions et de la formation des équipages.
Air France a d’autre part annoncé avoir été désignée « employeur de choix » auprès des jeunes, avec l’attribution du label par la plateforme Engagement Jeunes pour l’année 2019. Ce label récompense l’entreprise pour sa politique favorisant le recrutement et l’intégration des alternants, ainsi que la qualité de management des tuteurs et maîtres d’apprentissage ; le trophée « fait écho à l’engagement fort d’Air France dans le développement de sa politique alternance, afin d’offrir une expérience unique et de qualité à ses alternants », souligne la compagnie aérienne dans un communiqué.
Engagement Jeunes est une plateforme web « permettant aux alternants de poster leur profil sur une CVthèque partagée avec de nombreuses grandes entreprises, de consulter des offres d’emploi en CDD, CDI ou alternance ou de suivre des MOOC, et des cours d’anglais en ligne. Pour l’entreprise, c’est l’occasion d’offrir aux alternants qu’elle ne peut garder la valorisation de leur expérience à travers la recommandation de leur tuteur, que l’alternant peut mettre en avant sur son profil ».
La compagnie aérienne low cost easyJet base un huitième Airbus à l’aéroport de Lyon, où son offre est portée à 3,5 millions de sièges cette année – une hausse de 12% par rapport à 2018.
Après avoir fêté en novembre dernier le dixième anniversaire de sa base à l’aéroport de Lyon-Saint Exupéry, la spécialiste britannique du vol pas cher y consolide sa position de leader : l’A320 supplémentaire permet d’ajouter 400.000 sièges à son offre, qui compte 47 destinations depuis la capitale des Gaules dont les deux nouveautés qui viennent d’être inaugurées, Séville et Ténériffe. Avec 25% de parts de marché en 2018, easyJet connait une croissance à deux chiffres en 2019 en termes de capacité ; au-delà des nouvelles destinations, cet avion permettra aux Lyonnais de « bénéficier de fréquences plus nombreuses et d’horaires adaptés à leurs besoins », souligne easyJet dans son communiqué. La desserte domestique de l’arc ouest se renforce ainsi vers Bordeaux avec quatre vols quotidiens, ainsi que davantage de vols vers Nantes et Rennes. Des améliorations que les voyageurs d’affaires (30% de la clientèle easyJet à Lyon), « sauront apprécier » alors qu’ils bénéficient déjà de huit destinations proposées tôt le matin, aussi bien sur des lignes internationales (Rome-Fiumicino, Londres-Gatwick, Berlin-Schönefeld et Barcelone) que sur des lignes intérieures (Bordeaux, Toulouse, Nantes et Brest) « pour une meilleure connectivité Est-Ouest ».
L’arrivée de cet A320 permet également à easyJet de prolonger « les courts séjours aux beaux jours ». Catane et Dubrovnik sont ainsi étendus du 1er avril et jusqu’à fin octobre. Le Maroc toujours plus demandé, voit la ligne vers Marrakech passer en vol quotidien, et le Lyon – Agadir lancé fin 2018 en saisonnier, est désormais disponible à l’année. Enfin, le Portugal voit ses fréquences augmenter vers Faro avec un vol supplémentaire le samedi, et vers Porto avec un nouveau double quotidien le dimanche.
Se présentant comme un « acteur incontournable de l’économie régionale », easyJet compte ainsi plus de 320 salariés tous sous contrat local, dont les 36 nouveaux emplois créés par l’arrivée de ce nouvel Airbus – qui porte à 39 le nombre d’avions constituant la flotte d’easyJet en France. Reginald Otten, Directeur Général adjoint d’easyJet en France, a déclaré dans un communiqué : « la croissance de notre flotte locale permet la création de postes contribuant au dynamisme économique de la ville et de sa région. Nous entretenons une relation de longue date avec l’aéroport Lyon-Saint Exupéry et les Lyonnais, à qui nous proposons toujours plus de choix pour leurs vacances ou leurs déplacements professionnels, afin de répondre à une forte demande ».
Tanguy Bertolus, Président du directoire d’Aéroports de Lyon, a ajouté : « depuis l’installation de sa base en 2008 à l’aéroport Lyon-Saint Exupéry, easyJet maintient un fort niveau de croissance et représente en 2018, 25 % du trafic total de l’aéroport. Avec ce 8ème avion, Lyon reste la plus importante base de la compagnie en région française. Cette nouvelle capacité permet de proposer 47 destinations au départ de Lyon, avec 2 nouvelles liaisons mais aussi des renforcements de fréquences sur les dessertes déjà opérées par la compagnie. Elle reflète par ailleurs le partenariat constructif et fidèle qui lie easyJet à VINCI Airports, avec des bases à Lyon, Lisbonne, Porto, Belfast, Nantes depuis peu et bientôt Londres-Gatwick ».
EasyJet transporte plus de 83 millions de passagers chaque année, dont plus de 13 millions de voyageurs d’affaires ; elle dispose d’une flotte de 317 avions et propose 1041 routes entre 157 aéroports dans 34 pays. Plus de 300 millions d’Européens vivent à moins d’une heure d’un aéroport desservi par easyJet.
La compagnie aérienne low cost Transavia France a ouvert les réservations pour la saison hiver 2019-2020, dévoilant au passage deux nouvelles liaisons au départ de Paris-Orly, Lanzarote et Fuerteventura en Espagne.
La filiale d’Air France spécialisée dans le vol pas cher a lancé hier les ventes pour la prochaine saison hivernale, avec plus de 2,3 millions de sièges disponibles sur plus de 12.300 vols pour des voyages entre le 27 octobre 2019 et le 28 mars 2020. En 2018, Transavia a dépassé le cap des 7 millions de passagers transportés en France, soit une augmentation de 20% par rapport à 2017. La low cost dessert aujourd’hui plus de 100 lignes et 63 destinations réparties dans 24 pays à travers l’Europe, au départ de ses trois bases françaises : Paris-Orly, Nantes-Atlantique et Lyon Saint-Exupéry.
Transavia offre à ses voyageurs la possibilité de contrer le froid et mettre le cap sur « deux nouvelles destinations ensoleillées aux Canaries » au départ de Paris-Orly : Lanzarote-César Manrique sera desservie avec 1 vol par semaine, à partir de 34 € TTC l’aller simple (en concurrence directe avec Vueling et indirecte avec Ryanair depuis Beauvais), en plus des lignes déjà proposées depuis quatre aéroports néerlandais. Fuerteventura-El Matorral aura également droit à 1 vol par semaine à partir de 34 € TTC l’aller simple, face à easyJet (CDG), TUI fly Belgium (CDG et Orly) et Vueling (CDG) ; Transavia dessert déjà Fuerteventura depuis Amsterdam.
Pour la saison hiver 2019, Transavia France étoffe son programme de vols « pour offrir à ses passagers un éventail toujours plus large de destinations en France et en Europe », avec des billets disponibles à partir de 29 € TTC l’aller simple.
Depuis Paris-Orly : 1,8 millions de sièges en vente, dès 34 € TTC A/S
Depuis Nantes-Atlantique : 305.000 sièges disponibles, dès 29 € TTC A/S
Depuis Lyon Saint-Exupéry : 205.000 sièges, dès 34 € TTC A/S
Afin de proposer un choix toujours plus large à ses passagers, la low cost consolide également son programme de vols depuis ses 3 bases, avec un renforcement vers le Maroc, l’Algérie, la Tunisie et l’Espagne. Transavia profite également de l’hiver pour prolonger 3 lignes depuis ses bases de Pari-Orly et Lyon :
Paris-Orly – Reykjavik (en vol de jour) : 2 vols par semaine, à partir de 44 € TTC A/S
Paris-Orly – Tirana : 2 vols par semaine, à partir de 57 € TTC A/S
Lyon – Beyrouth : 1 vol par semaine, à partir de 79 € TTC A/S
« Nous sommes très heureux de lancer dès aujourd’hui les ventes des vols hiver 2019 ! Tous nos passagers auront l’occasion de trouver les meilleurs prix pour s’envoler dès cet automne vers des destinations incontournables, comme les îles Canaries. Nous renforçons également nos fréquences vers des destinations prisées en Tunisie et au Maroc, mais aussi en Europe, avec le Portugal ou l’Espagne. Forte d’un taux de ponctualité de plus de 80 % sur l’ensemble de l’année 2018, Transavia s’est également distinguée par la qualité de sa relation client online avec une belle récompense : le Trophée Qualiweb dans le secteur Tourisme et Transport. Nous mettons le confort et l’excellence opérationnelle au cœur de nos services. « Make low-cost feel good » restera donc notre mot d’ordre pour 2019 ! », déclare Nicolas Hénin, Directeur Général Adjoint Commercial de Transavia France.
La compagnie aérienne KLM Royal Dutch Airlines lancera l’hiver prochain une nouvelle destination au Costa Rica, ajoutant Guanacaste-Liberia à sa desserte de San Juan au départ d’Amsterdam.
A partir du 29 octobre 2019, la compagnie nationale néerlandaise proposera quatre vols par semaine entre sa base à Amsterdam-Schiphol et l’aéroport de Guanacaste-Liberia Daniel Oduber Quirós (LIR), opérés en Boeing 787-9 Dreamliner pouvant accueillir 30 passagers en classe Affaires, 45 en Premium et 219 sièges en Economie. Les départs sont programmés mardi, vendredi, samedi et dimanche à 11h35 pour arriver à 17h15 à San José-Juan Santamaria, en repartir à 19h15 et se poser à 20h10 ; les vols retour quitteront la côte Pacifique du Costa Rica à 21h15 pour atterrir en direct à Amsterdam le lendemain à 13h20.
KLM sera sans concurrence à Guanacaste-Liberia, l’un des quatre aéroports internationaux du pays étant également desservi par TUI Airways au départ de Londres-Gatwick ; l’aéroport Daniel Oduber Quirós accueille principalement des vols des Etats-Unis et du Canada, ainsi que Copa Airlines depuis le Panama (où elle partage ses codes avec Air France-KLM).
« Guanacaste est la deuxième plus grande région du Costa Rica. La région est connue pour sa nature magnifique, ce qui en fait une destination de vacances unique en combinaison avec San José. Tout cela fait de Guanacaste Liberia un atout précieux pour notre réseau KLM », a déclaré dans un communiqué Pieter Elbers, PDG de la compagnie sœur d’Air France.
La compagnie néerlandaise de l’alliance SkyTeam avait relancé en octobre 2017 des vols entre Amsterdam et San José, une destination abandonnée en 1998. Elle est également sans concurrence sur cette route proposée trois fois par semaine en hiver, la capitale du Costa Rica étant également desservie depuis l’Europe par Air France (3 vols par semaine depuis Paris-CDG cet été), British Airways depuis Londres-Gatwick, Edelweiss Air depuis Zurich, Iberia depuis Madrid, et Lufthansa et Condor depuis Francfort.
Guanacaste est une région située au nord-ouest du Costa Rica, bordant l’océan Pacifique et située à environ 250 km de la capitale San José. La région est connue pour son magnifique littoral, ses calanques calmes, ses plages immaculées et ses petites îles qui parsèment la côte. Le climat à Guanacaste est unique au Costa Rica, la région recevant peu ou pas de pluie de novembre à avril; ce qui en fait une destination de vacances populaire. La région a également beaucoup à offrir en termes de nature. Les jungles entourant les volcans de l’intérieur forment un cadre verdoyant pour les randonneurs, les passionnés de la flore et de la faune. La capitale de Guanacaste est Libéria, avec 60 000 habitants. L’aéroport international est situé à moins de 24 km de la plage la plus proche.
Boeing a enregistré le mois dernier 44 commandes, dont trois pour la version VIP de son 737. Ses 54 livraisons incluent 23 monocouloirs, même si les compagnies aériennes ne reçoivent plus de 737 MAX depuis le 13 mars suite au crash du vol ET302 d’Ethiopian Airlines.
Les commandes enregistrées par Boeing en mars 2019 comprennent donc trois BBJ 737 pour un ou des clients forcément non identifiés, mais aussi vingt Triple Sept : 18 777X pour British Airways, et deux 777F pour DHL. La famille Dreamliner affiche de son côté 21 787-9, dont 20 pour Lufthansa et un pour Boeing Capital Corporation.
Depuis le début de l’année, le constructeur américain totalise 91 commandes nettes dont 29 monocouloirs 737 (dont 14 en version militaire P-8, et douze annulations), quatre 767, vingt 777 et trente-huit 787 Dreamliner. Au premier trimestre 2018, Boeing totalisait 180 commandes nettes.
Côté livraisons, Boeing a remis le mois dernier à ses clients 54 avions dont 23 monocouloirs 737 (y compris des MAX pour Air Canada, Air China, Royal Air Maroc, Shandong Airlines, SilkAir, TUI, Xiamen Airlines ou les sociétés de leasing ALC, Aviation Capital Group, BOC, CIT) ; un 747-8F (UPS), six 767 (dont quatre tankers 767-2C et deux 300F pour FedEx), sept 777 et dix-sept 787 (dont quatre 787-10 pour ANA, Singapore Airlines et United Airlines). Depuis le début de l’année, Boeing a livré un total de 149 avions dont 89 737, deux 747, douze 767, dix 777 et 36 Dreamliner ; ce qui le laisse avec un carnet de commandes (backlog) à la fin mars 2018 de 5815 avions – y compris 4648 monocouloirs, 22 747, 103 767, 436 777 et 606 787.
On rappellera qu’au premier trimestre 2018, ces livraisons totalisaient 184 appareils, 35 de plus donc – ce qui montre l’impact de l’interdiction de vol des 737 MAX, pour lesquels le rythme de production va être réduit de près de 20% à 42 avions par mois. Boeing n’a plus que 72 737NG à livrer ; « bien que le 737NG fasse partie du même système de production (que le MAX), nous travaillons pour que les livraisons ne soient pas perturbées », a déclaré un porte-parole de Boeing à ATW. En 2018, près de la moitié des 580 livraisons de monocouloirs concernait les MAX.
Grounded 737 MAX 8s parked on Runway 11-29. This is not the first time airplanes have been stored at Paine Field pic.twitter.com/9ZCM2vbmuW
Guillaume Faury prend ce mercredi les commandes d’Airbus, succédant à Tom Enders avec au programme des chantiers allant des nouveaux avions aux problèmes judiciaires, en passant par la nouvelle attaque des Etats-Unis devant l’OMC. Un sixième BelugaXL va être construit, tandis que trois A350-900 auraient été commandés par le gouvernement allemand.
Alors que le géant européen fêtera le mois prochain son cinquantième anniversaire, le président de la branche Commercial Aircraft Guillaume Faury devient ce 10 avril 2019 CEO d’Airbus SE (président exécutif). A 51 ans, il a exercé plusieurs fonctions de top management au sein d’Eurocopter entre 1998 et 2008, tout d’abord dans l’ingénierie et les essais en vol, avant de devenir Exécutif Vice-Président des Programmes commerciaux, puis Exécutif Vice-Président pour la Recherche & Développement. Il a rejoint Peugeot S.A. en 2009, puis a fait en mai 2013 son retour chez Airbus pour prendre la direction de la Division Airbus Helicopters, avant d’être nommé début 2018 à son poste actuel.
Parmi les défis attendant Guillaume Faury figurent une série d’affaires de corruption en France, au Royaume Uni, aux USA et en Inde entre autres, la gestion de crises telles que le Brexit (les ailes de l’A350 sont par exemple construites à Filton en Grande Bretagne) ou l’A400M, la concurrence du secteur privé avec Arianespace, le lancement d’un nouvel avion de combat avec Dassault ou la modernisation de l’outil industriel. Sans oublier la nouvelle attaque des Etats-Unis, qui vise spécifiquement Airbus : les USA menacent d’imposer des hausses de taxes douanières dès cet été, si l’Union européenne ne met pas un terme à certaines subventions. Robert Lighthizer, le représentant américain au Commerce, estime dans un communiqué que ces subventions « pénalisent » les États-Unis à hauteur de 11 milliards de dollars d’échanges commerciaux chaque année ; la liste de produits visés inclut des hélicoptères et avions civils, des pièces détachées – mais aussi des produits alimentaires, des vêtements ou des motos… Le tout dans le cadre de la bagarre des deux géants de l’aviation devant l’OMC – dont le dernier jugement fin mars avait justement condamné Boeing…
Airbus a réagi hier, qualifiant la décision du gouvernement américain de « totalement injustifiée » et affirmant que la Commission européenne pourrait proposer des « contre-mesures beaucoup plus étendues ». Mais le constructeur souligne aussi que la seule solution à ces « tensions commerciales inutiles » est un règlement négocié. Un ton adopté également par les instances européennes, qui vont demander à l’OMC des « éclaircissements » sur ses droits de rétorsion afin de « prendre rapidement des mesures » ; mais la Commission se dit ouverte à des discussions avec le gouvernement américain, à condition qu’elles « soient sans conditions préalables et visent un résultat équitable ».
Côté avions, Airbus a annoncé hier que la famille BelugaXL attend un sixième enfant : alors que la production des avions de transport « continue de progresser comme prévu », le programme va ainsi être « pérennisé ». Cette extension, passant du nombre initialement ciblé de cinq appareils à un nouveau total de six, permettra de garantir que la capacité fournie par les BelugaXL pourra « prendre en charge de nombreux scénarios ». « Dans plusieurs années, nous pourrions être confrontés à des situations telles que des augmentations de tarif supplémentaires pour nos avions de ligne ou la mise au sol d’un des transporteurs aériens, ce qui ferait de ce » sixième « avion supplémentaire un élément essentiel de notre réseau de transport », a expliqué dans un communiqué Bertrand George, directeur du programme BelugaXL chez Airbus.
Le premier BelugaXL – un A330 largement modifié, conçu pour transporter des composants d’aéronef volumineux au sein du réseau de production d’aéronefs Airbus – a effectué son premier décollage en juillet 2018 et est maintenant utilisé pour des tests de compatibilité et de vérification sur des sites du réseau industriel européen d’Airbus, notamment un premier voyage en février avec une série d’ailes A350 XWB reliant Brême (Allemagne) à Toulouse. France. Ce mois-ci, le deuxième transporteur a été peint dans les locaux de Toulouse. Le BelugaXL entrera officiellement en service plus tard cette année et d’ici 2023, les six appareils seront pleinement opérationnels, remplaçant ainsi la flotte existante de super-transporteurs A300-600ST d’Airbus (également connus sous le nom de Beluga ST). Cela ne suggère toutefois pas la fin des cinq ST Béluga, souligne Airbus, et leur avenir « est actuellement à l’étude ».
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On retiendra enfin que selon Der Spiegel Online, le gouvernement allemand aurait commandé trois Airbus A350-900 en configuration VIP, livrables à partir de juin 2020. Le coût estimé est à 640 millions d’euros pour les trois avions, plus 280 millions pour l’aménagement intérieur et 229 millions pour les équipements de défense anti-missile et les pièces détachées. Le contrat devrait être signé le 15 avril avec Lufthansa Technik, précise le site ; la décision aurait été prise après les problèmes rencontrés par les A340-300 gouvernementaux âgés d’une vingtaine d’années, notamment lors du G20 à Buenos Aires en novembre dernier. Un des trois A340-300 serait conservé.
Trois hommes armés ont braqué un avion de la compagnie aérienne Austrian Airlines à l’aéroport de Tirana, s’emparant de plusieurs millions d’euros. Un des malfaiteurs a été abattu par la police.
Entre 2,5 et 10 millions d’euros auraient été dérobés le 9 avril 2019 à l’aéroport de Tirana-Nënë Tereza, quand les hommes déguisés en soldats ont attaqué l’Airbus A320 (OE-LBY) de la compagnie nationale autrichienne, en partance pour Vienne avec un nombre non précisé de membres d’équipages et de passagers à bord. Après avoir défoncé une porte de sécurité à l’aide de leur voiture, ils se sont emparés des sacs d’argent liquide qui étaient en train d’être chargés dans la soute. La police s’est lancée à leur poursuite, ouvrant le feu et tuant l’un d’entre eux ; quatre personnes avaient été interpellées hier soir.
Austrian Airlines a confirmé hier que ni les passagers ni les membres d’équipage n’avaient été blessés lors du hold up – personne à bord ne s’étant apparemment aperçu de rien, avant l’annonce du retard du vol OS848. L’avion a finalement pu partir avec près de trois heures de retard, et la compagnie aérienne a promis de ne plus faire de transfert de fonds ou d’objets de valeur au départ de la capitale albanaise. Quatre braquages similaires ont eu lieu ces trois dernières années à l’aéroport Mère Theresa.
Le trafic de l’aéroport de Toulouse-Blagnac a progressé de 5,5% en mars 2019, avec un total de 810.224 passagers accueillis. Le trafic national progresse de 6,8%, l’international affichant une hausse de 4,8%. Avec 328.140 passagers, la part du trafic low cost atteint 40,6% du trafic total.
Le trafic national dans l’aéroport toulousain a enregistré le mois dernier 430.622 passagers, une hausse de 6,8% par rapport à mars 2018. Le trafic sur Paris est en hausse (+4,7%), avec une progression significative observée sur Paris-Orly (+3,4%, 212.631 passagers) et sur Paris-CDG (+8,3%, 82.647 passagers). En région, le trafic affiche un bon niveau de croissance (+11,7%, 135.344 passagers) avec des résultats positifs sur la majorité des destinations selon le communiqué du gestionnaire ATB. Les croissances les plus importantes sont relevées sur Nice (+35%, 13.822 passagers), Rennes (+26,9%, 8862 passagers) et Nantes (+17,3%, 28.259 passagers).
Toulouse-Blagnac affiche en mars un trafic international de 378.108 passagers (+4,8%). L’espace Schengen (63,6% de ce trafic) est en croissance avec +3,1% et 240.313
passagers). Madrid est leader sur ce faisceau avec un trafic à l’équilibre et 34.246 passagers. Les plus fortes croissances sont observées sur Ténériffe (+105,5%, 4849 passagers), Milan-Malpensa (+28,5%, 5444 passagers) et Malte (+20,6%, 3 90 passagers).
Hors Schengen (+10,7%, 91.572 passagers), le trafic sur Londres (+6,4%) domine avec 66.009 passagers répartis sur quatre aéroports : Londres-Heathrow (+9,7%, 21.943 passagers), Londres-Stansted (+8,2%, 17.164 passagers) Londres-Gatwick (+5,5%, 22.259 passagers) et Londres-Luton (-8,9%, 4643 passagers). Ces résultats font de la capitale britannique la 2ème destination au départ de Toulouse-Blagnac après Paris, tous trafics confondus.
Le trafic sur l’Afrique du Nord progresse (+7,1%), avec des résultats contrastés sur la Tunisie (+17%, 7320 passagers), le Maroc (+10%, 19.472 passagers) et l’Algérie (-1,2%, 13.257 passagers).
Le trafic charter représente 2,5% du total international, avec 9 428 passagers. Le trafic fret et poste est en retrait (-3,4%), avec 6520 tonnes traitées. Le nombre de mouvements commerciaux est stable (+0,4%), avec 7402 mouvements réalisés. L’emport moyen par avion est de 119 passagers, contre 114 en mars 2018.
Sur les trois premiers mois de l’année 2019, le trafic à Toulouse-Blagnac atteint 2.158.964 passagers, soit une hausse de 2,1% par rapport au premier trimestre 2018.
La compagnie aérienne Lufthansa inaugure une nouvelle liaison saisonnière entre Munich et Strasbourg, s’ajoutant à celle opérée en bus depuis Francfort.
Du 9 avril au 25 octobre 2019, la compagnie nationale allemande propose cinq vols par semaine entre sa base de Munich et l’aéroport de Strasbourg-Entzheim, opérés par Cityline en Bombardier CRJ900 de 90 sièges (pris en wet lease chez Adria Airways). Les départs sur cette route sans concurrence et disponible à partir de 99 euros A/R sont programmés en semaine comme suit :
Grâce à cette liaison au hub de Munich, Strasbourg « s’ouvre non seulement davantage sur l’Europe mais aussi et surtout sur le monde », souligne la compagnie de Star Alliance dans un communiqué. Le hub Lufthansa de Munich offre aux passagers alsaciens en effet 2728 fréquences hebdomadaires vers 140 destinations dans 46 pays en Europe, Amérique, Asie, Moyen Orient et Afrique (été 2019). Cette nouvelle connexion « est également intéressante pour les voyageurs qui veulent visiter Munich et la Bavière », offrant une alternative confortable à la voiture et au train avec une durée de vol de 55 minutes. Les clients du groupe bénéficient toujours de la ligne Lufthansa Express Bus reliant les deux stations de bus (du Boulevard de Metz et celle se situant à l’intersection de l’avenue Herrenschmidt et de la rue Fritz) Kieffer à l’aéroport de Francfort, avec six départs journaliers.
« Grâce à cette ligne, les passagers français bénéficieront d’un accès renforcé au réseau mondial de Lufthansa, via deux hubs majeurs européens », déclarait le mois dernier Michael Gloor, Senior Director Sales France, Luxembourg et Pays-Bas. « Nous sommes convaincus qu’il existe une dynamique importante dans les régions françaises, où nous proposons les deux tiers de notre offre. Dans notre croissance en France, Strasbourg est une ville clé de par sa position de plateforme incontournable Européenne », ajoutait-il.
Pour Lufthansa Group, la croissance sur les régions s’est traduite les dernières années par l’ouverture de lignes de Nantes vers Bruxelles et Munich, de Bordeaux vers Francfort et Zurich et également de Marseille vers Zurich. Le Groupe concentre ses efforts pour faciliter la connexion des villes importantes de Province vers son réseau international ; il propose actuellement plus de 700 fréquences hebdomadaires au départ des principaux aéroports français. Avec plus de 46 millions de passagers en 2018, le hub Lufthansa de Munich est le premier aéroport cinq étoiles en Europe, et le 3ème meilleur aéroport dans le monde selon un classement établi en 2015 par Skytrax.
La compagnie aérienne Air Sénégal revient sur les classes Affaires et Premium de son premier Airbus A330-900, dont elle est compagnie de lancement en Afrique, le second exemplaire devant être livré en d’ici la fin de l’année.
Mis en service le 11 mars 2019 sur le vol quotidien entre sa base à Dakar-Blaise Diagne et l’aéroport de Paris-CDG, le premier A330neo de la compagnie sénégalaise est baptisé « Casamance », et configuré pour accueillir 32 passagers en classe Affaires, 21 en Premium Economie et 237 en Economie (290 sièges au total). Air Sénégal explique dans un communiqué « met un point d’honneur à rendre l’expérience passager unique en s’appuyant sur la cabine Airspace, lancée avec l’A330neo, établissant de nouvelles normes en matière de confort, d’ambiance, de service et de design pour les compagnies aériennes et leurs passagers.
La classe Affaires est équipée de 32 sièges installés en quinconce, configurés en 1-2-1. Chaque siège se transforme en lit entièrement plat, d’une longueur de 2,05m avec oreiller et couette. Les commandes installées dans l’accoudoir sont gérées en activant un bouton pour plus ou moins d’inclinaison. L’écran vidéo individuel tactile mesure 34cm, et le wifi est disponible. Les repas sont servis à la demande avec un choix parmi deux plats ainsi que deux desserts, accompagnés de boissons à volonté, de grands crus de vins et de champagne millésimé.
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La classe Premium propose 21 sièges configurés en 2-3-2, équipés d’un repose-pied réglable ainsi que d’un repose-tête pour un meilleur maintien. L’inclinaison peut aller jusqu’à 15° grâce à une commande située dans l’accoudoir. Le divertissement (sur écran individuel de 34 cm) inclut de la musique, des films, des programmes TV en 6 langues différentes et une connexion wifi.
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L’éclairage “mood lighting” équipe les deux cabines avant de l’A330-900 d’Air Sénégal, afin de créer « une ambiance lumineuse donnant l’impression davantage d’espace ». Les passagers des classes Affaires et Premium économie bénéficient d’un enregistrement particulier et d’un embarquement prioritaire à bord, alors que le salon Air France à l’aéroport Roissy Charles de Gaulle 2E est réservé aux passagers de la classe Affaires. Air Sénégal a récemment signé un accord interligne avec Air France afin de permettre l’émission de billets combinant les deux compagnies sur un trajet Paris-Dakar aller-retour. Durant la saison estivale, les départs de Dakar sont programmés tous les jours à 9h50 (arrivée à 17h15), les vols retour quittant Paris à 19h45 (arrivée à 23h30).
Air Sénégal recevra son deuxième Airbus A330-900 (« Sine Saloum ») d’ici la fin de l’année ; il sera mis en place « sur de nouvelles destinations en Europe et au-delà ». Première compagnie africaine à exploiter un A330neo, elle bénéficie des dernières avancées technologiques en termes d’économie de carburant (-25%) et d’efficacité opérationnelle. Cet appareil de toute nouvelle génération propose des équipements modernes et une technologie embarquée de pointe (wifi, larges écrans tactiles, nombreux divertissements connectés…), avec des cabines spacieuses et très confortables
A ce jour, Air Sénégal dessert depuis Dakar huit destinations réparties dans autant de pays (Paris donc, Ziguinchor, Abidjan, Bamako, Banjul, Bissau, Conakry et Praia). Sa flotte est composée de deux A319, deux ATR 72-600 et de son premier A330-900.
Le programme estival de l’aéroport de Bordeaux-Mérignac compte 37 nouveautés en vol direct, dont 15 destinations inédites sur un total de 112.
La saison Printemps-Eté 2019 vient de commencer au départ de l’aéroport bordelais, Bordeaux et avec elle « toujours plus de voyages possibles en vol direct ou en connexion via 13 hubs internationaux ». Bordeaux-Mérignac propose 112 destinations directes au pic de la saison estivale, et 162 lignes opérées par 34 compagnies aériennes donc quatre nouvelles (Air Canada, Finnair, Nouveair, Ural Airlines). Le marché low cost continue à s’accroître, souligne le communiqué de l’aéroport, avec en particulier l’ouverture de la base Ryanair. Parmi les nouveautés, 15 destinations sont inédites sur le réseau des vols en direct au départ de Bordeaux : Cracovie, Trévise, Bari, Tanger, Mykonos, Ouarzazate, Cologne, Lamezia Terme, Copenhague (Ryanair), Grenade (easyJet), Pula, Vienne (Volotea), Moscou (Ural Airlines), Helsinki (Finnair) et Djerba (Nouvelair).
Le programme de vol à Bordeaux est étoffé par de nombreux renforts de fréquences sur 22 destinations existantes : easyJet renforce largement son réseau sur 10 dessertes, avec jusqu’à 4 fréquences supplémentaires hebdomadaires sur Marseille ou encore 3 rotations de plus sur Bâle-Mulhouse, « forte plateforme de correspondance internationale ». Turkish Airlines vient compléter son programme de vols vers Istanbul avec 2 fréquences supplémentaires sur la semaine, et propose un vol quotidien de fin juin à fin septembre. La compagnie confirme aussi son retour sur la saison hiver.
Tableau des renforts de fréquences sur la saison été 2019:
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L’Aéroport de Bordeaux propose aussi 14 destinations en vols charters en complément des lignes régulières. Une offre supplémentaire vers des dessertes reliées exceptionnellement à Bordeaux telles qu’Amman en Jordanie, Varna en Bulgarie ou bien Tirana en Albanie.
Pascal Personne, directeur de l’Aéroport de Bordeaux, a déclaré : « Ce nouveau programme estival représente un volume de 112 liaisons directes régulières. Peu d’aéroports européens peuvent afficher autant de nouveautés en une seule saison. Elles connectent notre territoire à 31 pays et offre quelques destinations inédites emblématiques telles que Moscou, Helsinki, Tanger ou Vienne. Les fréquences seront assurées par 34 compagnies régulières. Il est important de souligner que l’utilisation d’avions de grande capacité par ces compagnies aériennes, notamment de type Boeing 737-800 pour Ryanair ou Airbus A320 pour easyJet, permet la modération de la croissance des mouvements d’avions, phénomène déjà constaté ces dernières années ».
Dans le cadre de son engagement pour l’inclusion et la diversité et l’occasion de la Gay Pride de San Francisco, et de la Marche des fiertés LGBT à Paris, la compagnie aérienne Air France proposera deux vols événementiels LGBT friendly entre les aéroports des deux villes.
Le vol AF084 du 28 juin 2019 entre Paris-Charles de Gaulle et San Francisco, et le vol AF083 le 30 juin 2019 entre San Francisco et Paris-CDG, accueilleront à bord une vente caritative d’objets au profit de l’association Le Refuge, dont la mission est « d’accompagner et d’héberger les jeunes gays, lesbiennes et personnes transidentitaires en situation d’errance ». L’opération est réalisée en partenariat avec Air France et la Fondation Air France. En parallèle de cette initiative « menée par des salariés et soutenue par la compagnie », Air France soutient également l’association LGBT et gay friendly des salariés d’Air France, Personn’Ailes, dans ses activités, notamment à l’occasion de la Marche des Fiertés LGBT de Paris.
L’association nationale Le Refuge est une structure conventionnée par l’Etat français qui propose un hébergement temporaire et un accompagnement social, médical, psychologique et juridique aux jeunes victimes d’homophobie ou de transphobie.
La Fondation Air France, créée en 1992 a choisi de soutenir la cause de l’enfance et de la jeunesse, chère au cœur des salariés de la compagnie. Depuis plus de vingt-cinq ans, elle étudie, sélectionne et finance des projets en faveur des plus jeunes en grande difficulté, dans les pays où Air France est présente. C’est dans le cadre de ces projets que la Fondation Air France soutient cette vente caritative.
Air France est selon son communiqué « consciente de sa responsabilité sociale et sociétale, affirme son engagement pour que seules comptent les compétences dans le milieu professionnel : lutter contre toutes les formes de discrimination est indispensable pour progresser et faire avancer l’égalité, le respect et la tolérance. C’est pourquoi Air France s’engage notamment à prévenir les discriminations liées au sexe ou à l’orientation sexuelle, et à favoriser un environnement de travail inclusif au sein duquel tous les collaborateurs peuvent être eux-mêmes ».
La compagnie aérienne low cost Vueling Airlines annonce l’arrivée d’un troisième Airbus A320 sur sa base à Paris-CDG, portant à sept le nombre de monocouloirs opérés au départ de la France. Sa consœur Level a de son côté inauguré sa nouvelle base à Amsterdam.
La spécialiste espagnole du vol pas cher, filiale du groupe IAG aux côtés de British Airways, Iberia, Aer Lingus et donc Level, renforce sa flotte parisienne avec l’arrivée d’un A320 supplémentaire à l’aéroport de Paris-Charles de Gaule. Vueling dispose désormais de sept monocouloirs opérant au départ de la France : trois à CDG et quatre à Paris-Orly. Avec l’ajout de cet appareil, la compagnie aérienne augmente son offre au départ de la capitale, avec toujours plus de choix et de fréquences à des horaires adaptés. Ce « pari sur la France » s’accompagne d’un renforcement des équipes en région parisienne, et « induit ainsi un impact positif sur l’emploi, tant en emplois directs qu’en emplois indirects ».
Au-delà de l’accueil de ce nouvel Airbus, Vueling a lancé deux nouvelles destinations au départ de Paris-CDG, visant à « répondre aux attentes loisirs » des clients : Porto au Portugal avec trois vols par semaine en plus de la rotation quotidienne depuis Orly (face à Aigle Azur, Air France, easyJet, TAP Air Portugal, Transavia et Ryanair depuis Beauvais), et Alicante en Espagne (quatre vols par semaine en plus des 18 à Orly, face à Transavia.
Charlotte Dumesnil, Directrice Générale France de Vueling Airlines, se réjouit dans un communiqué : « L’arrivée de cet Airbus A320 supplémentaire consolide la présence de Vueling à Paris. Cet appareil en plus permet non seulement d’augmenter notre capacité au départ de Paris, mais aussi de démontrer une nouvelle fois notre impact sur le territoire. Vueling possède désormais 7 avions basés à Paris – 4 appareils à Orly et 3 à CDG – offrant ainsi un total de 30 routes à destination de 7 pays, opérant depuis la capitale. ».
Cet été, Vueling Airlines propose 61 routes au départ de 12 aéroports en France, soit une augmentation globale de 9% de ses capacités de transport de passagers par rapport à 2018. La low cost a débuté son activité en France en 2004, et est devenue en 2010 la première compagnie aérienne en termes de passagers transportés entre la France et l’Espagne. Elle propose aujourd’hui des vols au départ des deux aéroports parisiens et de Bastia, Bordeaux, Brest, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Nice, Rennes et Toulouse « vers plus de 120 destinations à travers l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique notamment grâce aux connexions via ses 2 hubs de Barcelone-El Prat et de Rome-Fiumicino ».
Image may be NSFW. Clik here to view.Autre filiale du groupe IAG, la low cost Level a inauguré sa base à l’aéroport d’Amsterdam-Schiphol, sa quatrième après Barcelone, Paris-Orly et Vienne. Elle va baser jusqu’à trois A321 de 210 sièges dans l’aéroport néerlandais, où elle a inauguré jusqu’à deux vols par jour vers Rome (en concurrence avec Alitalia, easyJet, KLM et Vueling) et un vers Vienne (en remplacement de Vueling et face à Austrian Airlines, easyJet et KLM). Level relie également Amsterdam à Londres-Luton, avec là encore jusqu’à deux rotations quotidiennes et en « remplacement » de Vueling, en concurrence directe avec easyJet et indirecte avec British Airways (depuis City, Gatwick et Heathrow), easyJet (depuis Gatwick, Southend, Stansted), Flybe (depuis City) et KLM (vers City et Heathrow).
Level inaugurera le mois prochains des liaisons entre Schiphol et Lisbonne (le 16, six vols par semaine face à easyJet, KLM, TAP Air Portugal, Transavia) et Fuerteventura (le 15, un vol par semaine en concurrence avec Corendon, easyJet, Transavia et TUI Fly Netherlands). Enfin le 15 aout prochain, Level lancera à Amsterdam une rotation quotidienne vers Barcelone (face à KLM, Transavia et Vueling) et une autre vers Milan-Malpensa (en concurrence avec Alitalia à Linate et avec easyJet et KLM à Linate et Malpensa).
La low cost autrichienne dispose à ce jour d’une flotte de deux A320 et quatre A321 (opérés par Anisec), avec trois monocouloirs supplémentaires en attende de livraison, ainsi que de cinq A330-200 (opérés par Iberia et Openskies) basés à Barcelone et Paris-Orly ; dans ce dernier cas, elle propose des routes vers Fort de France, Pointe à Pitre, Montréal et Newark.